Les pêcheurs d’Ishigaki (Préfecture d’Okinawa) pêchent autour des îles Senkakus mais craignent pour leur sécurité et leur survie à cause du nombre grandissant de pêcheurs taïwanais dans leurs eaux.
Cette mer est surnommée par les pêcheurs « la mer des trésors » car elle regorge de différentes espèces de poissons tels que le thon, la bonite ou le vivaneau. C’est la raison principale pour laquelle cette mer est revendiquée par la Chine et le Japon.
La demande grandissante de poisson à Taiwan a multiplié les chances de collisions de bateaux et des querelles dues à des emmêlements de filets de pêches.
Bien que les pêcheurs chinois fassent des efforts et travaillent maintenant dans le nord de la mer, loin des pêcheurs japonais, ces derniers craignent de voir leurs concurrents descendre plus au sud.
Le directeur de la coopérative des pêcheurs d’Ishigaki, Kameichi Uehara, a déclaré que les pêcheurs locaux travaillaient à perte à chaque fois que des incidents se produisaient entre les pêcheurs des deux pays et que les autorités devraient négocier un traité pour tenter de diviser équitablement la mer la mer.
« Il serait souhaitable que des règles de pêche soient clairement établies pour les zones au large des îles Senkakus, mais les autorités ont laissé une position ambigüe en raison des problèmes territoriaux entra la Chine et le Japon.»
Les gardes côtes japonais tentent de réguler les zones maritimes, mais la mer des Senkaku reste un vrai problème; ils n’arrivent pas à surveiller le nombre trop grandissant des pêcheurs Taïwanais sur les mers japonaises.
Un pêcheur de thons originaire d’Ishigaki que travaille dans les eaux des Senkaku à remarqué que sa pêche était moins bonne depuis que les pêcheurs taïwanais étaient présents dans «ses» mers. Il est atterré qu’aucune règle n’ait été établie.
« Avec 1,3 milliards de bouches à nourrir, la demande de poisson en Chine va sûrement augmenter. Actuellement, il y a de nombreux bateaux de pêche taïwanais dans nos eaux du sud des Senkaku. » a déclaré le pêcheur.
Mon opinion:
Mon opinion:
Si j'étais un pêcheur japonais, je serais dans le même état de colère que ces pêcheurs; ils voient leurs prises diminuer et leur propre gouvernement ne fait rien pour les aider. Ce problème prouve alors une nouvelle fois que les artisans sont mis en marge de la société.
Fishing for trouble
In Okinawa Prefecture, Ishigaki island fishermen feel threatened for their safety and livelihood by the too imposing presence of fishermen from Taiwan.
Fishermen call the sea between China and Japan “a sea of treasure” where they can find tuna, bonito and snapper.
The rising demand of fish in Taiwan has multiplied the risk of boats’ collisions and troubles such as entanglement of fishing nets.
The head of the Yaeyama fisheries cooperative in Ishigaki, Kameichi Uehara, said that local fishers lose money whenever there are troubles between the two countries. He also declared that they should make a treaty to divide the sea and help fishermen.
“It would be desirable if fishing rules are clearly set for the sea area near the Senkakus, but the authorities have left the situation ambiguous because of territorial claims from China and Taiwan.”
Whereas Japan Coast Guards try to regulate the sea area, the waters near Senkaku are a real problem for them; they can’t supervise the rising number of Taiwanese vessels.
A tuna fisherman from Ishigaki who works in the Senkakus seas noticed that his catches have been greatly reduced since the number of Taiwanese fishermen increased. He’s afflicted that no rules have ever been created.
“With 1.3 billion people to feed, fish demand in China is certain to jump. Currently, there are even Taiwanese fishing vessels with crews from mainland China operating in the sea south of the Senkakus.” The fisherman said.
My opinion:
If I were a Japanese fisherman, I would be in the same state of anger; Ishigakis' fishermen see their catches decreasing and their own government doesn’t do anything for them. That problem proves, once again, that Japanese artisans are marginal in today’s society.
If I were a Japanese fisherman, I would be in the same state of anger; Ishigakis' fishermen see their catches decreasing and their own government doesn’t do anything for them. That problem proves, once again, that Japanese artisans are marginal in today’s society.
Lisa R.