lundi 23 novembre 2015




How Is Japan Going To Defend Itself Against Terrorism?

After the ISIL (Islamic State of Iraq and the Levant also known as Daesh) attack last week in Paris, France, Japan is about to speed up establishing an intelligence gathering unit against terrorism. In October, Japan modified Article 9 of their pacifist constitution, so they could now use their army overseas to come to the aid of a military ally under attack. However, this change in their constitution provoked massive demonstration as most Japanese are pacifists, which accounts for Japan’s reluctance to fight military against Daesh. On November 19, Japan took part at the APEC (Asia- Pacific Economic Cooperation) summit with other Pacific nations including China and the US, to consider the options to fight Daesh together. Japan underlined that their operations with regard to terrorism will have a specific approach, respecting their tradition of non-military intervention, since World War II. Their fight against Daesh will consist in a humanitarian mission to help the refugees and to accelerate the constitution of their Intelligence gathering unit. This reinforcement will help them to prevent possible terrorist attacks during major events, such as the Group of 7 (G-7) meeting next year and the rugby world cup in 2019.

Comment le Japon va-t-il se défendre contre le terrorisme?

Après les attentats perpétrés par l’EI (Etat Islamique), plus connu sous le nom de Daesh, à Paris la semaine dernière le Japon va accélérer la mise en place d’une unité de collecte de renseignements contre le terrorisme. En octobre dernier, le Japon a modifié l’article 9 de sa constitution, ce qui lui permet désormais d’utiliser son armée en dehors de ses frontières pour venir en aide à un allié agressé. Mais cette modification a déclenché de nombreuses manifestations dans le pays, car la plupart des Japonais sont profondément pacifistes. Cela peut expliquer la réticence du Japon à combattre Daesh militairement. Le 19 novembre dernier, le Japon a participé au sommet de la Coopération Economique pour l’Asie (APEC), qui regroupe les nations du Pacifique (dont la Chine et les Etats-Unis), afin d’étudier les moyens de combattre l’EI. La position du Japon n’a pas évolué. L’archipel a rappelé que ses actions vis-à-vis du terrorisme auront une approche spécifique, respectant leur tradition de non-intervention militaire, depuis la seconde guerre mondiale. Leur combat face au terrorisme consistera en une mission humanitaire pour aider les réfugiés et à accélérer la mise en place de leur unité de collecte de renseignement. Ce renforcement les aidera à prévenir d’éventuelles attaques terroristes lors de grands événements, tels que le G7 l’année prochaine et la coupe du monde de rugby en 2019.

Nathan
 

jeudi 19 novembre 2015

The new art gallery of Fukushima's wasteland

After the explosion of the nuclear power plant Fukushima, thousands of Japanese fled in their cars to the north. Some of them decided to check the direction of the wind and they realized that the others survivors went in the same direction that the nuclear particles and they were in danger.
Afterwards, an artistic project was created called “Don't follow the wind” . Twelve brave Japanese and foreign artists made a collaboration with a view to staging the most inaccessible art exhibition in the world.
The artists have turned common spaces like a house, a hospital or a farm into an artistic response to the most catastrophic nuclear accident since Chernobyl. The only access to this project is via a touring exhibition, all the visitors and the artists have to wear hazmat with heavy protections against the deadly nuclear radiations.
Unfortunately, some people deny their efforts, for example Jonathan Jones - a writer for The Guardian since 1999 and an art critic - thinks that some events like “Don't follow the wind” is tantamount to celebrating the image of nuclear disaster and making money on a tragedy.
Jonathan Jones proposed to start a discussion with scientists about the pros and cons of nuclear energy as a solution to global warming.

Alexandre

La nouvelle galerie d'art des terres désolées de Fukushima

Après l'explosion du réacteur nucléaire Fukushima, des milliers de Japonais ont fui en voiture en direction du Nord. Une partie d'entre eux ont décidé de vérifier la direction du vent et ont réalisé que les autres survivants allaient dans la même direction que les particules nucléaires et qu'ils étaient en danger.
Après cet événement, un projet artistique appelé « Ne suivez pas le vent » (Don't follow the Wind en anglais) .
Douze courageux Japonais et quelques autres artistes ont monté un projet collaboratif avec pour objectif de bâtir la plus inaccessible des expositions d'art du monde.
Les artistes ont transformé des lieux communs tels une maison, un hôpital ou une ferme en une réponse artistique au plus destructeur des accidents nucléaires depuis Tchernobyl .
Le seul accès possible vers ce projet se fait via une exposition touristique, les visiteurs ainsi que les artistes doivent porter une lourde combinaison de protection contre les radiations nucléaires mortelles.
Cependant, certains critiquent leurs efforts, pour exemple Jonathan Jones pense que créer des Événements tel Ne pas suivre le vent, c'est fter l'image qu'offre les désastres nucléaires et se faire de l'argent sur une tragédie, Jonathan Jones (un rédacteur travaillant pour The Guardian depuis 1999 et aussi un critique d'art) propose alors de commencer une discussion scientifique à propos des gens pour ou contre utiliser l'Énergie nucléaire comme solution au réchauffement climatique.

Alexandre


mercredi 11 novembre 2015


Leaders of Japan and South Korea meet in effort to repair ties

On Monday 2 November Prime Minister Shinzo Abe of Japan and President Park Geun-hye of South Korea met in Seoul and held a high-level meeting between their two nations. This meeting was mainly about Japan’s colonial rule of Korea, especially over the issue of the so-called comfort women — tens of thousands of Korean and other Asian women sent to work at front-line brothels for Japanese soldiers during World War II — and to stop North Korea’s nuclear weapons development
.
This meeting was a first in more than 3 years, because Mrs. Park had previously rebuffed many Japanese requests for talks because she and many others South Koreans see it as attempts to play down what Japan did during the war. So during this meeting M. Abe confirmed the former official apologies from the previous Japanese Prime minister. According to them the subject of the comfort women is the biggest obstacle to friendlier ties.

At this meeting they also talked about applying sanctions on North Korea to stop their nuclear weapons development. Indeed if North Korea got nuclear weapons it would be very dangerous for the entire planet because they will maybe be able to attack other countries rather than use them for defense. This is very disquieting for Japan and South Korea because they are the closest countries. So the question about the comfort women and the problems with North Korea are not about to be resolved.

Jean Marc

Les dirigeants du Japon et de la Corée du Sud se rencontrent pour renouer le dialogue

Lundi 2 novembre, le premier ministre Japonais Shinzo Abe et la présidente sud-coréenne Park Geun-hye se sont rencontrés à Séoul,  un événement très important pour leurs deux nations.

Cette réunion portait principalement sur la domination coloniale du Japon sur la Corée, particulièrement sur la question des femmes dites de confort  — des dizaines de milliers de femmes coréennes et d’autres pays asiatiques envoyées de force travailler dans des bordels au front pour les soldats japonais lors de la Seconde Guerre Mondiale — et pour trouver des moyens de stopper le développement d’armes nucléaires en Corée du Nord.

Cette rencontre est une première depuis plus de 3 ans, parce que Mme. Park avait déjà repoussé de nombreuses demandes japonaises car elle et beaucoup d’autres Sud-Coréens considèrent cela comme des tentatives de M. Abe de minimiser les crimes de guerre japonais.

Durant cette réunion, M. Abe a renouvelé les précédentes excuses officielles des précédents Premiers ministres japonais. Selon eux le sujet des femmes de confort est le plus grand obstacle pour des relations plus amicales.

Lors de cette réunion, ils ont également envisagé d’imposer des sanctions à la Corée du Nord pour arrêter leur développement d’armes nucléaires. En effet si la Corée du Nord développe un arsenal d’armes nucléaires, ce serait très dangereux pour toute la planète, car ils seraient en mesure d’attaquer d’autres pays au lieu de les utiliser pour leur défense. Ceci est très inquiétant pour le Japon et la Corée du Sud, les pays les plus proches. Cependant, la question des femmes de confort et les problèmes avec la Corée du Nord sont loin d’être réglés.

Jean Marc

Sources :