jeudi 19 novembre 2015

The new art gallery of Fukushima's wasteland

After the explosion of the nuclear power plant Fukushima, thousands of Japanese fled in their cars to the north. Some of them decided to check the direction of the wind and they realized that the others survivors went in the same direction that the nuclear particles and they were in danger.
Afterwards, an artistic project was created called “Don't follow the wind” . Twelve brave Japanese and foreign artists made a collaboration with a view to staging the most inaccessible art exhibition in the world.
The artists have turned common spaces like a house, a hospital or a farm into an artistic response to the most catastrophic nuclear accident since Chernobyl. The only access to this project is via a touring exhibition, all the visitors and the artists have to wear hazmat with heavy protections against the deadly nuclear radiations.
Unfortunately, some people deny their efforts, for example Jonathan Jones - a writer for The Guardian since 1999 and an art critic - thinks that some events like “Don't follow the wind” is tantamount to celebrating the image of nuclear disaster and making money on a tragedy.
Jonathan Jones proposed to start a discussion with scientists about the pros and cons of nuclear energy as a solution to global warming.

Alexandre

La nouvelle galerie d'art des terres désolées de Fukushima

Après l'explosion du réacteur nucléaire Fukushima, des milliers de Japonais ont fui en voiture en direction du Nord. Une partie d'entre eux ont décidé de vérifier la direction du vent et ont réalisé que les autres survivants allaient dans la même direction que les particules nucléaires et qu'ils étaient en danger.
Après cet événement, un projet artistique appelé « Ne suivez pas le vent » (Don't follow the Wind en anglais) .
Douze courageux Japonais et quelques autres artistes ont monté un projet collaboratif avec pour objectif de bâtir la plus inaccessible des expositions d'art du monde.
Les artistes ont transformé des lieux communs tels une maison, un hôpital ou une ferme en une réponse artistique au plus destructeur des accidents nucléaires depuis Tchernobyl .
Le seul accès possible vers ce projet se fait via une exposition touristique, les visiteurs ainsi que les artistes doivent porter une lourde combinaison de protection contre les radiations nucléaires mortelles.
Cependant, certains critiquent leurs efforts, pour exemple Jonathan Jones pense que créer des Événements tel Ne pas suivre le vent, c'est fter l'image qu'offre les désastres nucléaires et se faire de l'argent sur une tragédie, Jonathan Jones (un rédacteur travaillant pour The Guardian depuis 1999 et aussi un critique d'art) propose alors de commencer une discussion scientifique à propos des gens pour ou contre utiliser l'Énergie nucléaire comme solution au réchauffement climatique.

Alexandre


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