The new art gallery of Fukushima's wasteland
After the explosion of the nuclear power plant Fukushima, thousands of Japanese fled in their cars to the north. Some of them decided to check the direction of the wind and they realized that the others survivors went in the same direction that the nuclear particles and they were in danger.
Afterwards, an artistic project was created
called “Don't follow the wind” . Twelve brave Japanese and
foreign artists made a collaboration with a view to staging the most
inaccessible art exhibition in the world.
The artists have turned common spaces like a
house, a hospital or a farm into an artistic response to the most
catastrophic nuclear accident since Chernobyl. The only access to
this project is via a touring exhibition, all the visitors and the
artists have to wear hazmat with heavy protections against the deadly
nuclear radiations.
Unfortunately, some people deny their
efforts, for example Jonathan Jones - a writer for The Guardian since
1999 and an art critic - thinks that some events like “Don't follow
the wind” is tantamount to celebrating the image of nuclear
disaster and making money on a tragedy.
Jonathan Jones proposed to start a discussion with scientists about the pros and cons of nuclear energy as a solution to global warming.
Jonathan Jones proposed to start a discussion with scientists about the pros and cons of nuclear energy as a solution to global warming.
Alexandre
La
nouvelle galerie d'art des terres désolées de Fukushima
Après l'explosion du réacteur nucléaire Fukushima, des milliers
de Japonais ont fui en voiture en direction du Nord. Une partie
d'entre eux ont décidé de vérifier la direction du vent et ont
réalisé que les autres survivants allaient dans la même direction
que les particules nucléaires et qu'ils étaient en danger.
Après cet événement, un projet artistique appelé « Ne
suivez pas le vent » (Don't follow the Wind en anglais) .
Douze courageux Japonais et quelques autres artistes ont monté
un projet collaboratif avec pour objectif de bâtir la plus
inaccessible des expositions d'art du monde.
Les artistes ont transformé des lieux communs tels une maison,
un hôpital ou une ferme en une réponse artistique au plus
destructeur des accidents nucléaires depuis Tchernobyl .
Le
seul accès possible vers ce projet se fait via une exposition
touristique, les visiteurs ainsi que les artistes doivent porter une
lourde combinaison de protection contre les radiations nucléaires
mortelles.
Cependant, certains critiquent leurs efforts, pour exemple
Jonathan Jones pense que créer des Événements tel Ne pas suivre le
vent, c'est fter l'image qu'offre les désastres nucléaires et se
faire de l'argent sur une tragédie, Jonathan Jones (un rédacteur
travaillant pour The Guardian depuis 1999 et aussi un critique d'art)
propose alors de commencer une discussion scientifique à propos des
gens pour ou contre utiliser l'Énergie nucléaire comme solution au
réchauffement climatique.
Alexandre
http://www.theguardian.com/world/2015/nov/16/fukushimas-radioactive-wasteland-turns-into-art-gallery
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