mardi 11 décembre 2012


                                                         Major tunnel collapses


The Sasago tunnel incident started at 08:00 AM local time on Sunday 2 December. The passageway was one of the most important and longest of Japan. It used to connect Tokyo and Nagoya and measured 4.3 km.

Some concrete parts fell from the and crushed cars and blocked the road with debris. A fire started by a crushed car carbonized some passengers. The rescue workers had to stop their researches because of a thick black smoke and because of the risk of a new collapse. The f blazed for tree hours after the accident.
A police officer said that the number of dead is unknown but nine dead bodies were found and seven people are still missing. Many others cars and people are thought to be trapped in the underpass. Some people succeeded to escape. One of them told a reporter how afraid he was and had to walk for an hour to get out.

The road has had to be closed because of the gravity of the accident. Two theories might explain why the roof collapsed :
- One of the metal rods which secure the roof may have fallen provoking a chain reaction.
- The tunnel, situated on a risk area may have been weakened by an earthquake or by a landslide inside the mountain. Yet no weakness had been signaled in the safety check.

The tunnel collapse will trigger an inquiry into the causes and raise questions about the safety of road transport. It was the worst accident since 1996 in Japan. That will cost a lot of money (86,6 billion dollars according to transportation ministry) for maintaining and repairing all the bridges and tunnels. It has already prompted an economic and political debate which might influence the next election.

                                              Effondrement d'un important tunnel

L'incident du tunnel de Sasago a commencé le dimanche 2 cembre à 8h, heure locale. Le tunnel de Sasago était l'un des plus importants et des plus longs du Japon. Il reliait Tokyo et Nagoya et mesurait 4,3 km de long.

Des morceaux de béton se sont détachés du plafond du tunnel. Les blocs ont écrasé des voitures et bloqué la route. Partant d'une voiture, un incendie a provoqué la mort de plusieurs passagers pris au piège.

Les secouristes ont du arrêter leur recherche à cause d'une épaisse fumée noire et face au risque d'un nouvel effondrement. Le feu a été éteint 3 heures après l'accident.

Un officier de police a déclaré qu'ils ne connaissaient pas encore le nombre de victimes mais qu'ils avaient déjà trouvé neuf cadavres et que sept personnes manquaient encore à l'appel. Ils pensent qu'il y a plusieurs autres voitures et personnes coincées dans le tunnel. Quelques uns ont réussi a s'échapper du tunnel enflammé. L’un d'eux a raconté à quel point il avait eu peur et qu'il avait du marcher pendant une heure afin de sortir du tunnel.

La route a du être fermée en raison de la gravité de la situation. Les raisons pour lesquelles le toit s’est effondré demeurent inconnues cependant deux théories pourraient expliquer l'accident:

- La première est que l'une des tiges de métal qui soutenait le plafond soit tombée, ce qui a provoqué une réaction en chaine.

- La seconde est que le tunnel situé sur un site propice aux tremblements de terre a été affaibli par ceux-ci ou alors par un glissement de terrain au sein même de la montagne. Cependant aucune anomalie n'avait été découverte pendant les contrôles de sécurité.

L'effondrement du tunnel va déclencher une enquête sur les causes de l'accident et soulever beaucoup de questions à propos de la sécurité des transports routiers. C’est le pire accident qu’ait connu le Japon depuis 1996.Il va aussi coûter beaucoup d'argent à l'Etat (86,6 milliards de dollars selon le ministère des transports) pour maintenir et réparer tous les ponts et tunnels. Cet épisode suscite déjà des débats politiques et économiques et pourrait influencer les prochaines élections.

03/12/12 Alice

mercredi 28 novembre 2012

Japan's new ambassador to China


Wednesday, November 28th, 2012

Japan’s new ambassador to China
            The Prime Minister Yoshihiko Noda has named a new ambassador to China, following the death of Shinichi Nishimiya.
           
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Mr. Nishimiya died of a heart attack at the age of 60, in the streets of Tokyo on September 16, 2012, two days later he wasappointed to the post. There is no indication that it was a malicious act, according to the police. He was due to replace Mr. Uichiro Niwa.



clip_image003Masato Kitera, the new ambassador, will be dispatched to Beijing in December. 
A career diplomat Masato Kitera has worked at the Foreign Ministry since 1976. He never took Mandarin lessons nor had ties with Beijing, but he was the deputy chief of the ministry’s China and Mongolia Division.
 


Kitera’s appointment according to diplomatic protocols has already been approved by China. His appointment will be official this week, but the specific date is still unknown. Moreover, Kitera will have a lot of work when he arrives in Beijing because of tensions between China and Japan about the Senkaku islands that are controlled by Japan but claimed by China.

Mercredi 28 novembre 2012
 
Un nouvel ambassadeur en Chine
           
Le premier ministre Yoshihiko Noda a nommé un nouvel ambassadeur en Chine, suite à la mort de Shinichi Nishiya.
 
clip_image004M. Nishimiya, qui devait remplacer   M. Uichiro Nowa, est décédé d’un arrêt cardiaque à l’âge de 60 ans, le 16 septembre 2012, deux jours après sa nomination pour le poste d’ambassadeur. Il a été retrouvé dans les rues de Tokyo. Selon la police rien n’indique qu’il ait été victime d’un acte malveillant.
 
 
 
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Masato Kitera, le nouvel ambassadeur  sera envoyé à Pékin en décembre. Diplomate de carrière, Masato Kitera travaille au Ministère des Affaires Etrangères depuis 1976. Il n’a jamais appris le mandarin  ni eu de liens avec Pékin, mais il a été sous-secrétaire du service de la Chine et de la Mongolie.
 
 
La nomination de Kitera selon le protocole diplomatique a déjà été approuvée par la Chine. Sa nomination deviendra officielle cette semaine, mais sa date précise est toujours inconnue. M. Kitera aura beaucoup de poids sur ses épaules quand il arrivera à Pékin en raison des tensions entre la Chine et le Japon à propos des îles Senkaku contrôlées par le Japon mais revendiquées par la Chine.

Mathilde

mardi 20 novembre 2012


Fukushima Fish still contaminated



Today, some fish around Fukushima have a high level of pollution. Researchers say that there are probably two sources of pollution: « There is the on-going leakage into the ocean of polluted ground water from under Fukushima, and there is the contamination that's already in the sediments just offshore ».


It means that the Dai-ichi power plants continues to be a source of pollution more than a year after the nuclear accident and that it has not yet been completely shut off.


That is why 40% of the fish around Fukushima are regarded as unfit for human consumption.
It seems to researchers that the most contaminated are bottom-fishes, crabs and shellfish because of there habitat on the seafloor.

Fish contamination is particularly worrying because of Japan’s high level consumption.
Some fishing areas have been closed for an undetermined period.

Japanese researchers planned to hold a conference in Tokyo to discuss the latest data on Fukushima and its impacts on the ocean.

Les poissons de la région de Fukushima sont toujours contaminés

Aujourd’hui, les poissons péchés autour de Fukushima ont un taux élevé de contamination radioactive. Les chercheurs disent qu'il y a surement deux sources de pollution :" d'une part des fuites en cours dans l'océan à cause des eaux souterraines polluées par Fukushima, et d'autre part la contamination qui est déjà présente dans les sédiments au large"

Cela veut dire que la centrale de Dai-ichi continue d'être une source de pollution plus d’une année après l'accident nucléaire et que la fuite n'a pas encore été complètement stoppée.

C'est pourquoi 40% des poissons de la côte est sont considérés non-comestibles. Cependant les poissons péchés sur la côte nord-est du Japon sont aptes à la consommation.

Il semble aux chercheurs que les poissons les plus contaminés sont les poissons qui vivent en eau profonde ainsi que les crabes et les crustacés. Les Japonais consomment plus de poissons que les autres pays.

Certaines zones de pêche sont interdites sans que l'on sache pour combien de temps.
Les chercheurs japonais ont prévu d'organiser une conférence à Tokyo pour discuter des dernières données publiées sur l’accident de Fukushima et son impact sur l'océan.

Alice

jeudi 15 novembre 2012

Record trade deficit


Record trade deficit
Japan lives on food imports, but also on the export of technological products.
On Monday the Minister of Finance announced the ¥558.6 billion ($5.5 billion) deficit was the biggest since 1979. Last September Japanese exports recorded a decline of 10.3%, while imports were increasing by 4%. In addition, the exports to Europe declined by 21.1% and to China by 14.1%. Japan is well-known for its automobile industry, but this industry has been most affected, with a 40% drop during this month. In contrast, exports to the United States rose 16.6%.
The trade of the third world economy has suffered from the global economic slowdown and the consequences of the diplomatic conflict about the Senkaku-Diaoyu islands with Beijing,which has prompted violent demonstrations and boycotts of Japanese products in China.
This situation is also complicated by the need for Japan to tackle the consequences of the tsunami and the earthquake of March 2011. Since these natural disasters, Japan has had to import more of its energy.


Un déficit commercial record
Le Japon qui vit essentiellement sur l’importation de produits alimentaires, mais aussi sur l’exportation de produits de haute technologie vient d’annoncer un déficit record.
Lundi, le 22 octobre, le ministère des finances a révélé le déficit de 558,6 milliards de Yens (5,5 milliards de dollars), le plus important depuis 1979. Les exportations ont diminué de 10,3% en septembre. Le commerce de la troisième économie mondiale a souffert du ralentissement économique mondial mais aussi des conséquences diplomatiques du conflit diplomatique avec Beijing concernant les îles Senkaku – Diaovu qui a provoqué de violentes manifestations et le boycott de produits japonais en Chine.
Les exportations vers l’Europe ont diminué de 21,1% et vers la Chine de 14,1%. Le Japon est renommé pour l’industrie automobile, mais cette industrie est la plus touchée, avec une chute de 40% ce mois-ci. En revanche, les exportations vers les Etats –Unis ont augmenté de 16,6%.
Dans le même temps, les importations augmentaient de 4%.
Cette situation est davantage compliquée par les conséquences du séisme et du tsunami de mars 2011. Depuis ces catastrophes naturelles, le Japon a besoin d’importer plus d’énergie pour les usines.

Mathilde


dimanche 21 octobre 2012


 
Wednesday, October 10, 2012

Tensions continue after Japan’s purchase of islands in South China Sea

 The Japanese government recently bought two islands that belonged to Japanese private owners.


   
The decision revived the row about the eight China Sea uninhabited islands stretching 7 sqkm and controlled by Japan. They are called Senkaku islands in Japan and the Diaoyou islands in China.

They lie in the northeast of Taiwan, east of the Chinese mainland and southwest of Okinawa in Japan. These islands are claimed by Japan, China and Taiwan because they are closed to important shipping lanes with rich fishing backgrounds and may contain oil reserves.


After a ten-year survey, the Japanese confirmed that there were no inhabitants.  A report compiled by the CIA on the sovereignty of Senkaku Islands proved that Japan’s sovereignty case was stronger and more convincing that China’s. 

However, China said that the Diaoyou islands had been part of its territory since ancient times and the ministry of Foreign Affairs claimed that this “is fully proven by history and is legally well-founded”.

 Maps published in Europe show that Senkaku Islands belong to China’s sovereign territory; while a Soviet Union’s official world atlas designated the Senkakus as Japanese territory.

Recently, Chinese people took to the street to protest the Japanese decision to nationalize two of these islands. This row has a negative impact on trade between China and Japan who are very important partners – Toyota’s China sales fell about 40 per cent in September from the year before.


 

Mercredi 10 octobre 2012

Les tensions persistent après l’achat par le Japon d’îles en Mer de Chine

 Le conflit est venu de la décision du gouvernement japonais d’acheter deux îles appartenant à des propriétaires privés.


 

Cette décision a ravivé la dispute concernant 8 îles inhabitées en Mer de Chine controlées par le Japon et appelées îles Senkaku au Japon ou Kiaoyou en Chine. Ces îles de 7 km² se situent au nord-est de Taiwan, à l’est de la Chine et au sud ouest d’Okinawa au Japon. Elles sont revendiquées par le Japon, la Chine et par Taiwan car elles sont proches d’un important site de pêche historiquement très productif et seraient susceptibles de contenir des gisements pétroliers.

 

 Après avoir étudié ces iles pendant dix ans, le Japon a confirmé qu’elles n’étaient pas habitées. Un rapport de la CIA a estimé que la souveraineté du Japon sur les îles Senkaku était plus probante et plus convaincante que celle de la Chine.

Cependant, la Chine a déclaré que les îles Diaoyou faisaient partie de leur territoire depuis très longtemps et selon le Ministre des affaires étrangères chinois, ceci est “totalement prouvé par l’Histoire et légalement bien-fondé”.

Des cartes publiées en Europe montrent que les îles Senkaku appartiennent à la Chine tandis que l’Atlas mondial de l’Union Soviétique  désigne ces îles comme territoire japonais.

Récemment, des manifestants chinois ont protesté contre la décision japonaise d’acheter  deux de ces îles. Ce conflit a un impact négatif sur le commerce entre la Chine et le Japon  qui sont de très gros partenaires commerciaux. Les ventes de voitures Toyota ont, par exemple, chuté de 40% en septembre par rapport au même mois de l’année précédente.  

Lucie

mardi 12 juin 2012


04/06/2012                 
Married women want to go back to work

 A recent government survey shows that 86% of the women who have a child want to work again. However, the majority find it almost impossible to land a job again. Only 11.6% of the women asked do not want to work again.
Among women between 20 and 49 with children under 19, 45% would like to work only part time. 25.8% would like to become regular employees, and 14.9% would like to begin by working part time and later to work full-time.
Nevertheless, it's rare to see women reemployed after maternity leave. Indeed, companies don't let women have flex-time or convenient hours to help them to manage taking care of their children. This is one of the main reasons that influence women to take no jobs.

My opinion: the Japanese government should take steps to help women rearing their children while working. An increase of subsidies and assistance in childcare centers would give more time to women to work.
Furthermore, if most women worked, this would boost the Japanese economy, because a higher number of workers leads to a wider variety of jobs, and so ahigher amount of revenue.

Les femmes veulent travailler

Un récent sondage montre que 86% des femmes qui ont eu un enfant veulent travailler. Cependant, la majorité pense que c'est presque impossible de trouver à nouveau un travail. Seulement 11,6% des personnes interrogées ne veulent pas recommencer à travailler.
45%  des femmes ayant entre 20 et 49 ans et qui ont un enfant de moins de 19 ans voudraient travailler à temps partiel. 25,8% voudraient devenir des employés régulières, et 14,9% voudraient commencer par travailler à temps partiel, puis à temps plein.
Néanmoins, il est rare que les femmes soient réembauchées après un congé de maternité. En effet, les entreprises ne proposent pas d'horaires à la carte ou d'horaires adaptés qui les aideraient à s'occuper de leurs enfants. C'est une des principales raisons qui poussent les femmes à ne pas reprendre le travail.

Mon  opinion : Le gouvernement japonais devrait prendre des mesures pour aider les femmes à élever leurs enfants tout en travaillant. Une augmentation des subventions et de l'assistance dans les centres de garde des enfants laisseraient plus de temps aux femmes pour travailler.
De plus, si la plupart des femmes travaillaient, cela améliorait l'économie du Japon, car un plus grand nombre de travailleurs conduit à une plus grande variétéd’emplois et donc une plus grande quantité de richesse créée.

       Jules


13/05/2012                        Does marriage mean domestic abuse?

     A recent survey from the Cabinet Office shows how discriminated the Japanese women are in the Japanese society: about 1/3 of married women (32,4%)  have already experienced domestic abuse. Belong those women, ¼ speak of kicks, punches and shoves, whereas 6% of them denounce repeated violence. 14% are forced to have sexual relations with their husband, and 17% are suffering from psychological harassment because of verbal abuse and restriction of moving and liberty.

    A big part of those women didn't tell anybody about their family situation and did bear this pain on their own. The main reason of keeping it under silence is for the sake of their children (57%), but 18% acted this way in order to avoid economic problems.

   This violence isn't restricted to low socioeconomic class. Indeed, last week, the vice-consul at San-Fransisco got arrested after hitting his wife badly with a deadly weapon.

My opinion : The situation of women in Japan is very disturbing, because even with time, nothing is really changing. The government itself seems show little interest. They should take steps to assist women and help them to speak about their problems and possibly to divorce. Cells of psychological aid should be created in order to help these women to forget their suffering.

                     

Est-ce que le mariage est-il synonyme de violence conjugale?


   Une récente enquête du Cabinet Office montre à quel point les femmes japonaises sont discriminées dans la société japonaise : 1/3 des femmes mariées (32,4%) ont déjà subi des violences domestiques. Parmi ces femmes, ¼ parlent de coups de pieds, de coups de poings ou d’être bousculées, tandis que 6% dénoncent des violences répétées. 14% sont forcées à avoir des rapports sexuels avec leur mari et 17% souffrent de harcèlement psychologique à cause de violences verbales, ainsi que de restrictions de mouvement et de liberté.

    Une grande partie de ces femmes n'ont parlé à personne de leur situation familiale et ont supporté cette douleur seule. La principale raison de le garder sous silence est le bien-être de leurs enfants (57%), mais 18% ont agi ainsi afin d'éviter des problèmes économiques.

   Cette violence n'est pas limitée aux basses classes sociales. En effet, la semaine dernière, le vice-consul de San-Fransisco a été arrêté après avoir frappé violemment sa femme avec une arme mortelle.

Mon opinion: le gouvernement lui-même semble peu s'y intéresser. Il devrait prendre des dispositions pour les femmes et les aider à parler de leurs problèmes et éventuellement de divorcer. Des cellules de soutien psychologique devraient être crées afin d'aider ces femmes à oublier ce qu'elles ont subi.

  Jules

01/04/2012                      Fukushima cities repopulated?

 clip_image001  On March 11, 2011, the worst nuclear disaster after Chernobyl, caused the Japanese government to close a large area of 20 kilometers radius around Fukushima, in order to preserve the population from radiations; about 80,000 people had to leave their houses. One year later, theJapanese government declared that entry passes could be delivered to residents of three cities which had been deserted after last year’s nuclear event. The three concerned cities are Tamura, Minami Soma and Kawauchi : inhabitants could finally come back home, depending on  radiation levelsAreas where the concentration of radiations is below 20 millisieverts per year will be opened by day and will be the first to get their residents back once and for all. Areas where the content of radiations is between 20 and 50 millisieverts per year could see their residents back too in the same conditions, but the time when the areas will definitely be opened will come later. And finally zones where the radiation measurement is more than 50 millisieverts per year will remain forbidden to the population.
    Furthermore, the mayors of three other cities, Namie, Futaba and Okuma, propose temporary solutions as creating new cities within Fukushima's prefecture, while waiting to come back to their former town.
   Those decisions will certainly reassure the Japanese population, because they know that Fukushima's radiation levels have been decreasing by the day. The fact that people could soon live again near their former city shows how Japan can get through any crisis whatever its nature. It doesn't matter what could happen, nothing will stop their will to live.

La région de Fukushima repeuplée?
  
   Le 11 mars 2011, le pire désastre nucléaire après celui de Tchernobyl obligea le gouvernement japonais à fermer une large zone de 20 kilomètres de rayon autour de Fukushima, afin d'éloigner la population des radiations ; 80.000 durent alors quitter leur domicile.
Un an plus tard, le gouvernement japonais a déclaré qu'il pourrait donner des permis d'entrées aux habitants de trois villes désertées après l'incident nucléaire de l'année dernière: Tamura, Minami Somaet Kawauchi.
Les habitants pourront retourner chez eux, en fonction des taux de radiations des zones. Les endroits où la concentration de radiations est inférieure à 20 milli sieverts par an recevront leurs habitants toute la journée et seront les premières à accueillir leurs résidents définitivement. Les lieux où la teneur en radiations est comprise entre 20 et 50 milli sieverts par an auront eux aussi leurs habitants toute la journée, mais la date à laquelle ces zones seront totalement ouvertes sera plus tardive. Les zones où les mesures de radiations seront supérieures à 50 milli sieverts par an resteront fermées à la population.
     Par ailleurs, les maires de trois autres villes, Namie, Futaba et Okuma, proposent des solutions temporaires comme créer de nouvelles villes, en attendant de pouvoir retourner à leur ville originelle.
    Ces décisions vont surement rassurer la population japonaise, car elle sait désormais que le taux de radiation dans la zone autour de Fukushima diminue chaque jour. Le fait que les habitants puissent retourner vivre dans la région montre comment le Japon peut surmonter toutes les épreuves, quelque soit leur nature. Quoi qu'il arrive, rien n'arrêtera leur volonté de vivre.

                                                                                                                                 Jules