mardi 12 juin 2012


13/05/2012                        Does marriage mean domestic abuse?

     A recent survey from the Cabinet Office shows how discriminated the Japanese women are in the Japanese society: about 1/3 of married women (32,4%)  have already experienced domestic abuse. Belong those women, ¼ speak of kicks, punches and shoves, whereas 6% of them denounce repeated violence. 14% are forced to have sexual relations with their husband, and 17% are suffering from psychological harassment because of verbal abuse and restriction of moving and liberty.

    A big part of those women didn't tell anybody about their family situation and did bear this pain on their own. The main reason of keeping it under silence is for the sake of their children (57%), but 18% acted this way in order to avoid economic problems.

   This violence isn't restricted to low socioeconomic class. Indeed, last week, the vice-consul at San-Fransisco got arrested after hitting his wife badly with a deadly weapon.

My opinion : The situation of women in Japan is very disturbing, because even with time, nothing is really changing. The government itself seems show little interest. They should take steps to assist women and help them to speak about their problems and possibly to divorce. Cells of psychological aid should be created in order to help these women to forget their suffering.

                     

Est-ce que le mariage est-il synonyme de violence conjugale?


   Une récente enquête du Cabinet Office montre à quel point les femmes japonaises sont discriminées dans la société japonaise : 1/3 des femmes mariées (32,4%) ont déjà subi des violences domestiques. Parmi ces femmes, ¼ parlent de coups de pieds, de coups de poings ou d’être bousculées, tandis que 6% dénoncent des violences répétées. 14% sont forcées à avoir des rapports sexuels avec leur mari et 17% souffrent de harcèlement psychologique à cause de violences verbales, ainsi que de restrictions de mouvement et de liberté.

    Une grande partie de ces femmes n'ont parlé à personne de leur situation familiale et ont supporté cette douleur seule. La principale raison de le garder sous silence est le bien-être de leurs enfants (57%), mais 18% ont agi ainsi afin d'éviter des problèmes économiques.

   Cette violence n'est pas limitée aux basses classes sociales. En effet, la semaine dernière, le vice-consul de San-Fransisco a été arrêté après avoir frappé violemment sa femme avec une arme mortelle.

Mon opinion: le gouvernement lui-même semble peu s'y intéresser. Il devrait prendre des dispositions pour les femmes et les aider à parler de leurs problèmes et éventuellement de divorcer. Des cellules de soutien psychologique devraient être crées afin d'aider ces femmes à oublier ce qu'elles ont subi.

  Jules

Aucun commentaire: