dimanche 14 février 2016

Will the Olympics save Japan?

2020 is a special year for Japan: the archipelago is going to host the Summer Olympic Games. Many Japanese fans are anticipating this event. But it will be also a landmark year, because the Japanese economy is at its lowest and Japan is expecting an economic recovery from the Olympics.

Japan is taking this opportunity to renovate its aging public facilities built after World War II.
The economic bonanza from construction frenzy and the influx of visitors will attract investors. They should also make Tokyo safer and more sustainable. Since the bid was validated, the real estate prices have grown up by ten per cent in Tokyo.
Hence, the Olympics should normally revive Japan’s economy, attracting more multinational companies, which are leaving to Hong Kong or Singapore.
For the Japanese government, these games will gather more earnings than they cost. Il will also generate about 13.8 billion dollars, which will create 150,000 full-time and part-time jobs. The Japanese companies are dominant in their respective categories and they are innovative and the Olympics will make them more visible.
Furthermore as Japan is in a difficult situation, such as in 1964 (they had the Olympics to erase the post war period from their minds) they need something to unite people again (now it is about the earthquake and the tsunami and the nuclear accident that happened in March, 2011). For some people, this is the only positive element for the future of Japan.

On the contrary, for others, Japan will collapse in 2020. The Games could not be affordable and Japanese land prices are sinking to a third of their value.
Plus, the public disagrees with the national stadium’s price and about the games’ emblem. Moreover, there is no reliable and available quotation for the total costs. The organizing committee acknowledged that the prices are higher than those which were required, if the bid was validated. The original project for the renovation of the national stadium would have cost about two billion dollars. Plus an Oxford study has demonstrated that hosting the Olympics generates higher costs than other megaprojects, so it denied the government version.
If Japan is to save its economy, they should encourage working women and raise the pension age to 75. Some say the future of Japan will be a financial crisis caused by the government’s debt and a crash of the housing market prices. To be continued…
Nathan

Les Jeux Olympiques sauveront-ils le Japon ?

2020 est une année spéciale pour le Japon: le Pays du Soleil levant va accueillir les jeux olympiques d'été. Cet événement est attendu par beaucoup de Japonais. Mais ce sera aussi une année déterminante pour une économie au plus mal.

Le Japon a saisi cette opportunité pour renouveler les équipements publics construits après la Seconde Guerre Mondiale.
L’aubaine économique de la construction frénétique et le flux des visiteurs vont attirer les investisseurs. Ils devraient aussi  faire de Tokyo une ville plus sure et plus durable. Depuis que la candidature a été validée, les prix du de l’immobilier ont grimpé de dix pour cent à Tokyo. Par conséquent, les Jeux Olympiques devraient normalement faire renaitre l’économie du Japon, attirant les entreprises multinationales qui partent pour Hong Kong ou Singapour.
Pour le gouvernement japonais, ces jeux devraient rapporter plus qu’ils ne coûteront.
Ils devraient générer environ 13,8 milliards de dollars, ce qui créerait 150.000 emplois à plein temps et à temps partiel. De plus les entreprises japonaises sont souvent performantes et innovantes et elles seront plus visibles durant les Jeux Olympiques.
En 1964, les Jeux Olympiques leur avaient fait oublier la Seconde Guerre Mondiale.
Ils ont besoin de se rassembler à nouveau après le tsunami, le tremblement de terre et l’accident nucléaire survenus en mars 2011). Pour certains, c’est même la seule chance pour l’avenir du Japon.

Au contraire, pour d’autres, le Japon risque de payer très cher 2020. Les Jeux Olympiques seront hors de prix. Les terrains sont en train de perdre le tiers de leur valeur.
L’opinion publique n’apprécie guère le coût du stade national et l’emblème des jeux.
Il n’y a pas de devis fiables pour le coût total et le comité d’organisation a reconnu que les prix sont plus élevés que ceux qui ont été présentés initialement.
Le stade national aurait dû couter deux milliards de dollars.
Une étude  a démontré qu’accueillir les Jeux Olympiques s’avère plus coûteux que d’autres mégaprojets, ce que contredit la version du gouvernement japonais.
Si le Japon veut sauver son économie, il devrait encourager les femmes à travailler et repousser l’âge de la retraite à 75 ans. Certains disent que l’avenir du Japon sera marqué par une crise financière causée par la dette publique et un effondrement des prix du logement. À suivre…
Nathan




vendredi 12 février 2016

The "Advertising" Sumo Wrestling

In Japan, Sumo isn't just a sport, it is also a way for sponsors to make lots of money. Indeed, the number of advertising parades before bouts has increased and the Sumo companises had never displayed so many banners.
Shinzo Abe the Prime Minister has unleashed the country's animal spirits.

Takumori, an economist at one of Japan's biggest asset managers, says that companies love the sport. Their names are even embroidered on banners and they sponsor sumo fighters . Now, investors can gauge which people are bullish on the economy and willing to spend their companies’ cash .



Each ad costs ¥62,000, (nearly 500 000 Euros) and companies must pay for at least one a day for the duration of the tournament, according to the sport’s administrator. January’s tournament had 1,872 company sponsored banners over the 15 days it ran. It's 5.4 percent fewer than the record 1,979 advertisements at the November event in Fukuoka.

Alexandre



Sumo Publicitaire

Au Japon, le sumo n'est pas qu'un sport, c'est aussi un moyen pour les organisateurs de se faire beaucoup d'argent. En effet, le nombre de parades publicitaires a augmenté et les compagnies de sumo n'ont jamais dressé autant de bannières. Le premier ministre Shinzo Abe a stimulé l'esprit d'entreprise du pays.




Takumori, un économiste qui travaille pour l'une des plus grande compagnie de gestion d'actifs, dit que les compagnies se passionnent pour les compétitions. Elles veulent que leur noms sont brodé sur les bannières publicitaires et sponsorisent des combattants. Les investisseurs peuvent désormais jauger quelles entreprises sont dynamiques et prêtes à dépenser de l'argent pour soigner leur image.



Chaque publicité coûte ¥62,000, (près de 500 000 Euros) et les compagnies doivent payer pour au moins une journée de tournoi selon les organisateurs. Le tournoi de janvier comptait 1 872 bannières de sponsors sur une durée de 15 jours. C'est 5,4 pourcent de moins que le précédent record qui est de 1 979 publicités exhibées en novembre à Fukuoka.

Alexandre

Sources :




mercredi 3 février 2016

Japan restarts 3rd nuclear reactor after Fukushima Disaster

Tokyo started up on Friday its third nuclear reactor at the Takahama Nuclear Power Station in the western prefecture of Fukui after a national shutdown triggered by the Fukushima disaster. This restart has revived concerns, especially in neighboring Kansai, and about the feasibility of plans to evacuate residents within 30 km of the plant in the event of an accident. Before the Fukushima accident in 2011, some 30 percent of Japan's energy needs were met by nuclear power. Now almost all the energy produced comes from thermal power plants that are polluting and unprofitable. At the moment, the work of 45 out of 48 nuclear reactors in the country is still halted, with two plants previously restarted at Sendai in August and September 2015.

Before starting up this reactor, the KEPCO (Kansai Electric Power Company) has paid attention to endow it with the latest technology as the plant will produce electricity with a plutonium-uranium mixed oxide fuel (MOX), recycled from spent nuclear waste which thus will increase their shelf life and reduce waste. They also wagered on security, with safety plans implementation, emergency power generators and anti-seismic measures and anti-tsunami.

Supporters say it will boost the economy of the area, it is mainly composed by businessmen, companies and the government while opponents - mainly activists supported by Greenpeace Japan - say this will cause safety problems with a risk of a new accident. Tokyo will restart a fourth reactor by the end of February on the same site of Takahama and others will certainly follow.

Jean Marc

Le Japon redémarre un 3e réacteur nucléaire après la catastrophe de Fukushima

Tokyo a redémarré ce vendredi son troisième réacteur nucléaire à la centrale nucléaire de Takahama dans la préfectureoccidentale de Fukui après un arrêt national déclenché par la catastrophe de Fukushima.

Le redémarrage a ravivé des préoccupations, spécialement dans le Kansai voisin, et à propos de la faisabilité des plans pour évacuer les résidents situés dans les 30 km autour de la centrale de Takahama en cas d’accident.

Avant l’accident de Fukushima en 2011, quelques 30 pour cent des besoins énergétiques du Japon étaient produits par l’énergie nucléaire. Maintenant presque toute l’énergie produite provient des centrales thermiques qui sont très polluantes et peu rentables. En ce moment, 45 réacteurs nucléaires sur 48 dans tout le pays sont toujours à l’arrêt tandis que deux réacteurs ont déjà été redémarrés en août et septembre 2015.

Avant de réactiver ce réacteur, la KEPCO (Kansai Electric Power Company) à fait attention de le doter des dernières technologies, en effet la centrale produira de l'électricité avec de l'oxyde mixte (MOX), un mélange plutonium-uranium recyclé à partir de déchets nucléaires usés ce qui permettra d'augmenter leurs durée de vie et de réduire le volume de déchets. Ils ont aussi misé sur la sécurité, avec des plans de mise en sûreté, des générateurs électriques de secours et des mesures antisismique et anti-tsunami.

Les partisans de ce redémarrage, surtout les commerçants les entreprises et le gouvernement disent que cela va relancer l'économie de la zone. Les opposants (essentiellement des militants soutenus par Greenpeace Japon) disent que cela va poser des problèmes de sécurité et qu'il y a risque d'un nouvel accident.
Tokyo a prévu de redémarrer un quatrième réacteur fin février sur le même site de Takahama et d’autres vont certainement suivre.


Jean Marc

Sources :