mardi 21 novembre 2017

Monday, November 13th 2017



« Black Widow » sentenced to death





Tuesday 7 November 2017, Chisako Kakehi, aged 70, was sentenced to death for killing her husband, two of her lovers and trying to murder another one.



Chisako Kakehi, nicknamed « Black Widow », had become a millionaire thanks to her lovers. She had relationships with many men that she met in dating agencies.

Since the death of her first husband in 1994, she has had approximately ten relationships.

Her lovers were always old, rich, they didn’t have any children and they lived alone.

When men made her the heiress of their heritage, she killed them. She was also called « The Poison Lady », indeed, she made her victims drink cyanide compound.



The police found medical books, instruments for administering drugs and traces of cyanide at her home, autopsies revealed the presence of cyanide in victim’s bodies. According to the judge, she
acted like this « for love of money ». The investigation revealed that she had dementia.

The trial lasted 135 days and she was sentenced to hanging. This story is a reminder that in Japan, the death penalty has not been abolished. Those condemned to death are hanged in terrible conditions, executions are done secretly. In July 2017, Amnesty International said that 124 people were waiting for their execution. 80% of Japanese support the death penalty.



Chloé.



Lundi 13 novembre 2017



« La Veuve noire » condamnée à mort pour l’empoisonnement de ses compagnons




Mardi 7 novembre 2017, Chisako Kakehi, une japonaise de 70 ans a été condamnée à mort pour le meurtre de son mari, de deux de ses amants et pour avoir essayé de tuer un autre de ses compagnons.

Chisako Kakehi surnommée « la veuve noire », était devenue millionnaire grâce à ses amants.

Elle entretenait des relations avec de nombreux hommes qu’elle rencontrait par l’intermédiaire d’agences matrimoniales.

Depuis la mort de son premier mari en 1994, elle avait eu environ dix liaisons. Ses amants étaient toujours âgés, riches, sans enfants et vivaient seuls.

Quand ces hommes faisaient d’elle l’héritière de leurs biens, elle les tuait. Elle était également appelée « l’empoisonneuse », en effet, elle faisait boire à ses victimes des composés de cyanure. La police a trouvé des livres de médecine, des instruments pour administrer des drogues et des traces de cyanure chez elle, les autopsies ont révélé la présence de cyanure dans les corps des victimes. D’après la juge, elle a agi de la sorte « cupidité ». L’enquête a révélé qu’elle était atteinte de démence.

Le procès a duré 135 jours, elle a été condamnée à la pendaison. Cette histoire nous rappelle qu’au Japon, la peine de mort n’est pas abolie. Les condamnés à mort sont pendus dans de terribles conditions, les exécutions sont pratiquées secrètement.

En juin 2017, Amnesty International a dénombré 124 personnes en attente de leur exécution. 80% de la population japonaise est favorable à la peine de mort.


Chloé



http://www.telegraph.co.uk/news/2017/11/07/japanese-black-widow-sentenced-death-murder-husband-two-lovers/

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