jeudi 23 novembre 2017

Une nouvelle étoile Française au Japon

Une nouvelle étoile Française au Japon 

Le grand prix Moto du Japon, qui se déroule sur le circuit « Motegi », dispute la quinzième manche du championnat du monde du 13 au 15 octobre 2017. 
Lors des essais qualificatifs, le jeune pilote Français Johann Zarco à la commande de sa moto Yamaha décroche la pole position.
C’est sa deuxième victoire après le GP des Pays-Bas fin juin. Cette nouvelle saison sera composée de trois courses au Japon, en Australie, en Malaisie, avant la finale à Valence. L'officiel HRC a pris une légère option sur ce futur titre 2017 très disputé. L'entrée dans la dernière ligne droite pour la course au titre de champion du monde est lancée !


            A new French star in Japan 

The Moto Grand Prix of Japan 2017,that took place on the circuit “Motegi”, during the 13th until the 15th of October 2017,disputed the fifteenth round of the world championship.                              In qualifying, the young French driver Johann Zarco at the helm of his Yamaha motorcycle got the pole position.                   It is his second victory after the GP of the Netherlands at end of June. This new season will be composed of three races in Japan, Australia, Malaysia, before the final in Valencia.                              The official HRC took a slight option on this future 2017 title very disputed. The entry in the last straight for the title of world champion is launched!

source: http://www.motogp.com/fr/event/Japan

                                                                                                           Romance 

mardi 21 novembre 2017

Monday, November 13th 2017



« Black Widow » sentenced to death





Tuesday 7 November 2017, Chisako Kakehi, aged 70, was sentenced to death for killing her husband, two of her lovers and trying to murder another one.



Chisako Kakehi, nicknamed « Black Widow », had become a millionaire thanks to her lovers. She had relationships with many men that she met in dating agencies.

Since the death of her first husband in 1994, she has had approximately ten relationships.

Her lovers were always old, rich, they didn’t have any children and they lived alone.

When men made her the heiress of their heritage, she killed them. She was also called « The Poison Lady », indeed, she made her victims drink cyanide compound.



The police found medical books, instruments for administering drugs and traces of cyanide at her home, autopsies revealed the presence of cyanide in victim’s bodies. According to the judge, she
acted like this « for love of money ». The investigation revealed that she had dementia.

The trial lasted 135 days and she was sentenced to hanging. This story is a reminder that in Japan, the death penalty has not been abolished. Those condemned to death are hanged in terrible conditions, executions are done secretly. In July 2017, Amnesty International said that 124 people were waiting for their execution. 80% of Japanese support the death penalty.



Chloé.



Lundi 13 novembre 2017



« La Veuve noire » condamnée à mort pour l’empoisonnement de ses compagnons




Mardi 7 novembre 2017, Chisako Kakehi, une japonaise de 70 ans a été condamnée à mort pour le meurtre de son mari, de deux de ses amants et pour avoir essayé de tuer un autre de ses compagnons.

Chisako Kakehi surnommée « la veuve noire », était devenue millionnaire grâce à ses amants.

Elle entretenait des relations avec de nombreux hommes qu’elle rencontrait par l’intermédiaire d’agences matrimoniales.

Depuis la mort de son premier mari en 1994, elle avait eu environ dix liaisons. Ses amants étaient toujours âgés, riches, sans enfants et vivaient seuls.

Quand ces hommes faisaient d’elle l’héritière de leurs biens, elle les tuait. Elle était également appelée « l’empoisonneuse », en effet, elle faisait boire à ses victimes des composés de cyanure. La police a trouvé des livres de médecine, des instruments pour administrer des drogues et des traces de cyanure chez elle, les autopsies ont révélé la présence de cyanure dans les corps des victimes. D’après la juge, elle a agi de la sorte « cupidité ». L’enquête a révélé qu’elle était atteinte de démence.

Le procès a duré 135 jours, elle a été condamnée à la pendaison. Cette histoire nous rappelle qu’au Japon, la peine de mort n’est pas abolie. Les condamnés à mort sont pendus dans de terribles conditions, les exécutions sont pratiquées secrètement.

En juin 2017, Amnesty International a dénombré 124 personnes en attente de leur exécution. 80% de la population japonaise est favorable à la peine de mort.


Chloé



http://www.telegraph.co.uk/news/2017/11/07/japanese-black-widow-sentenced-death-murder-husband-two-lovers/

mercredi 8 novembre 2017

A man admits to killing and chopping up nine people over two months

A 27-year old men called Takahiro Shiraishi was arrested after police found dismembered bodies of nine victims in his flat in Zama, near Tokyo.

The discovery was made Tuesday 31 October as police were looking for a 23-year-old woman.

According to the investigators, Mr. Shiraishi had been in contact with her via Twitter after she wrote that she wanted to commit suicide. He then told the police he contacted his prey via twitter saying that he would help their suicide plans. He also confessed that four of his victims were teenagers, five others were in their twenties. There were eight female victims and one male.

Police found two severed heads in a cold-storage container outside his flat. Body parts of seven other people were stored in cool boxes hiding under cat litter. 
NHK reported him saying "I killed them and did some work on the bodies in order to hide the evidence". 
According to TBS, Mr. Shiraishi told police he "dumped cut flesh and organs in the trash".  Mr. Shiraishi also said to the police that he chopped up bodies in his bathroom with a saw who was found in his room. His next-door neighbour said he had started smelling strange odors from his flat.

For now, he has been charged with improper disposal of one body but police are searching for evidence he killed all nine. 



 Un homme avoue avoir tué et découpé neuf personnes

Jeudi 31 octobre, Takahiro Shiraishi, 27 ans, a été arrêté par la police après la découverte de membres de neuf personnes dans son appartement à Zama, près de Tokyo. 

 La police était à la recherche d’une femme de 23 ans.

D’après les enquêteurs, M. Shiraishi a pris contact avec elle après qu’elle eut fait part de son envie de se suicider sur twitter. M. Shiraishi a dit à la police qu’il contactait ses proies via twitter en leur disant qu’il allait les aider à se suicider et les a tuées le jour même de leur rencontre. 
Il a aussi avoué que 4 de ses victimes étaient des adolescents, les 5 autres avaient une vingtaine d’années. Parmi les neufs victimes, 8 étaient des femmes.
La police a trouvé deux têtes détachées de leur corps dans une glacière à l’extérieur de son appartement. Les parties des corps des 7 autres victimes étaient elles aussi rangées dans des boites isothermes cette fois ci à l’entrée de son appartement cachées en dessous d’une litière pour chat.

Selon NHK, il aurait dit à la police qu’il les avait découpées pour dissimuler les corps et faire disparaitre les preuves. 
D’après TBS, M. Shiraishi a avoué avoir “jeté la chair découpée ainsi que les organes àla poubelle”. Il a également dit à la police qu’il a découpé les corps dans sa salle de bain avec une scie que la police a retrouvée dans sa chambre. Son voisin d’en face a avoué qu’il commençait à sentir des odeurs étranges venant de son appartement.

Pour l’instant, M. Shiraishi a été mis en examen pour dissimulation de cadavre mais la police cherche toujours à prouver qu’il a tué 9 personnes 

Elham



samedi 14 octobre 2017

Monday, October 9th, 2017 
Excessive work leads to death
Last Wednesday, the NHK company confessed to be responsible for the death of one of their journalists. The NHK is a public company which manages radio and television stations. It’s the only Japanese public audiovisual group. 
Miwa Sado had been employed by the NHK for eight years, she was a journalist. One month before her death, she alerted her family and told them that she was too busy and stressed by her work, she thought about quitting her job because it was too difficult for her. During that month, the 31-year-old journalist would have worked 159 hours of overtime with only 2 days off. She died on the 24 of July 2013 because of hearth problems. The Japanese authorities concluded that the young woman died because of too much working time. 
Four years later, the NHK made the matter public under the pressure of Miwa’s family who fight so that similar situations do not happen again. In Japan, the phenomenon of death by excess of labor is called “karoshi”. Several hundred cases of fatal burn-out are recorded each year. The NHK participates in campaigns against the karoshi which hurts their image. 
Chloé 

Lundi 9 octobre 2017 
L’excès de travail peut entraîner la mort
Mercredi dernier, l’entreprise NHK a avoué être responsable de la mort d’une de leurs journalistes. La NHK est l’entreprise publique qui gère les stations de radio et de télévision. C’est l’unique groupe audiovisuel public japonais. 
Miwa Sado était employée par l’entreprise NHK depuis huit ans, elle occupait un poste de journaliste. 
Un mois avant sa mort, elle avait alerté sa famille en leur signalant qu’elle était trop occupée et stressée par son travail, elle envisageait même de démissionner de son poste qui devenait trop dur pour elle. Pendant ce mois, la journaliste de 31 ans aurait travaillé 159 heures supplémentaires, avec seulement 2 jours de repos. Elle est décédée le 24 juillet 2013, suite à des problèmes cardiaques. Les autorités japonaises ont conclu que la jeune femme était décédée suite à un temps de travail beaucoup trop important. 
Quatre ans plus tard, la NHK a rendu l’affaire publique sous la pression de la famille de Miwa Sado qui se bat pour que des cas similaires à ceux de leur fille ne se reproduisent plus. Au Japon, le phénomène de mort par excès du travail est appelé « karoshi ». Plusieurs centaines de cas de burn-out mortels sont recensés chaque année. La NHK participe à des campagnes contre le « karoshi » ce qui nuit à l’image de l’entreprise. 
Chloé



jeudi 11 mai 2017

A male island

Okinoshima is an island where women are not allowed. 
The island located in southwestern Japan has been recommended to be listed as a UNESCO World Heritage Site. Okinoshima allows men to come only for religious reasons and visitors are not allowed to bring anything back.
The Okitsumiya church honors a goddess of the sea. 
It used to be a privileged place for exchanges with Korea and China and to ensure the safety of ships. 
It's unlikely that the genre bar will be lifted.


Une île très masculine

Okinoshima est une île où les femmes ne sont pas autorisées à mettre les pieds. Elle est située au sud-ouest du Japon. Le site a été recommandé pour être classé au patrimoine mondial de l'UNESCO. 
Okinoshima ne permet aux hommes de venir que pour des raisons religieuses. Les visiteurs ne sont même pas autorisés à ramener des souvenirs.
L'église d'Okitsumiya honore une déesse de la mer, cette île était le lieu habituel pour les échanges avec la Corée et la Chine et pour assurer la sécurité des navires. Il y a peu de chances pour l’instant que cette ségrégation soit abolie.


Clémence

source :
http://www.bbc.com/news/blogs-news-from-elsewhere-39835628?intlink_from_url=http://www.bbc.com/news/topics/3f53c272-5b8f-4a4f-99de-a857d6726c5b/japan&link_location=live-reporting-story