Saving Japan's future
Japan has been facing the worst natural or man-made disasters for a long time -earthquakes, tsunamis and nuclear meltdown.To avoid future catastrophes, Japanese must change their mind about nuclear energy and try to transit to new energy that could reduce greenhouse gas emissions.
For
COP21, an international climate meeting was held in Bonn last month.
Developing countries expressed strong dissatisfaction with a draft
text of agreement submitted by the co-chairs. They said that advanced
economies have to bear a large portion of the cost to fight the
global warming because developed countries are responsible for past
warming as consequences of their industrial activities in factories.
They called not only for funds and technologies to help developing
countries with their transition to low-carbon energy, but also
assistance to protect against rising sea levels and many other
natural disasters . Unfortunately because of the
differences of opinions between developing and developed countries,
the meeting ended October 23 without a draft that could serve as a
foundation for an agreement at COP21.
Unlike
the Kyoto Protocol which binds nations to reduce greenhouse gas
emissions, COP21 will discuss about adopting a plan of intended
nationally determined contributions (INDC), under which
individual countries submit their planned actions to reduce gas
emissions and voluntarily carry them out. The goal is to
encourage as many countries as possible to take part in the
global effort to fight against global warming.
However,
there is no guarantee that countries will perform the
actions for which they pledged and a possible failure to
achieve the worldwide target limiting greenhouse gas emissions by
2030 to a level that will hold global temperature increase to no
more than 2 degrees Celsius from the pre-Industrial Revolution level.
Time has
come for people and businesses in Japan to stop thinking that they
can emit carbon dioxide without paying for by a strong increase of
pollution. The government and business circles must start discussions
on the introduction of the cap-and-trade system which will impose
limits on the maximum of gas emissions which every
individual company can emit.
Now
Japanese know that they can't stop their gas emissions unless
they fully invest in the new energy for a better future.
Alexandre
Alexandre
Les
problèmes écologiques du Japon avant
la COP21
Les
problèmes écologiques du Japon avant
la COP21
Le
Japon a dû faire face aux pires catastrophes naturelles ou
industrielles : séismes, raz-de-marée ou explosion nucléaire.
Les
Japonais doivent changer d’avis
sur l'énergie nucléaire et passer aux nouvelles énergies qui
pourraient réduire l'émission de gaz à effet de serre.
Pour
la COP21, une conférence internationale sur le climat
s'est tenue à Bonn le mois dernier. Les pays en
voie de développement ont exprimé des critiques sur un
projet de résolution soumis par les dirigeants. Ils disent que
les économies les plus avancées doivent s’acquitter
d’une large part du
coût nécessaire à lutter contre le réchauffement climatique car
les pays développés en sont responsables en raison de leur
activité industrielle.
Ils
appellent non seulement à la création d’une
taxe spéciale et de technologies pouvant aider les pays en
développement dans leur transition vers les énergies à
basse consommation de carbone, mais aussi à l’aide
internationale pour se protéger de l’élévation du
niveau de la mer et d'autres anomalies naturelles. Malheureusement, à
cause des trop nombreuses divergences d'opinions, la conférence
a pris fin le 23 octobre et s'est soldée par un échec
dans la création du projet de texte qui aurait pu servir de
fondation à une entente lors de la COP21.
Contrairement
au protocole de Kyoto qui consistait à lier les nations entre elles
pour parvenir à réduire les émissions de gaz à effet de serre, la
COP21 va aborder la discussion d'un plan « INDC » (Intended
Nationally Determined Contributions) soit le
plan d’engagement individuel
des pays selon lequel chaque pays planifiera ses actions dans le
cadre de la réduction des gaz à effet de serre.
L’objectif
de cette approche et d'encourager le plus de pays possible à prendre
part à l'effort global contre le réchauffement
climatique.
Néanmoins,
il n'y a aucune garantie que chaque pays accomplisse ses
engagements et il est possible qu'on échoue à limiter,
avant 2030 les émissions de gaz à effet de serre à l'échelle
mondiale à un niveau permettant d’empêcher la température
mondiale d'augmenter de plus de 2 degrés Celsius par rapport au
niveau de l'époque pré-industrielle.
Le
temps est venu pour la population et les industriels
japonais d'arrêter de penser qu'ils peuvent émettre des gaz
carboniques sans le payer par une forte augmentation de la pollution.
Le gouvernement et les cercles industriels doivent introduire
un système
de plafonnement et d'échange avec lequel
ils imposeront des limites sur le maximum d'émissions que chaque
compagnie pourra individuellement produire.
Maintenant
les Japonais savent qu'ils n'arrêteront pas de polluer à moins
de s’investir pleinement
dans les nouvelles énergies pour un avenir meilleur.
Alexandre
Sources :
The
news words that I learned :
greenhouse
= serre
cap-and-trade
system ~ système
de plafonnement et d'échange
funds
= financement