jeudi 10 décembre 2015

   
Saving Japan's future

 Japan has been facing the worst natural or man-made disasters for a long time -earthquakes, tsunamis and nuclear meltdown.To avoid future catastrophes, Japanese must change their mind about nuclear energy and try to transit to new energy that could reduce greenhouse gas emissions.

     For COP21, an international climate meeting was held in Bonn last month. Developing countries expressed strong dissatisfaction with a draft text of agreement submitted by the co-chairs. They said that advanced economies have to bear a large portion of the cost to fight the global warming because developed countries are responsible for past warming as consequences of their industrial activities in factories. They called not only for funds and technologies to help developing countries with their transition to low-carbon energy, but also assistance to protect against rising sea levels and many other natural disasters . Unfortunately  because of the differences of opinions between developing and developed countries, the meeting ended October 23 without a draft that could serve as a foundation for an agreement at COP21.

    Unlike the Kyoto Protocol which binds nations to reduce greenhouse gas emissions, COP21 will discuss about adopting a plan of intended nationally determined contributions (INDC), under which individual countries submit their planned actions to reduce gas emissions and voluntarily carry them out. The goal is to encourage as many countries as possible to take part in the global effort to fight against global warming.
However, there is no guarantee that countries will perform the actions for which they pledged and a possible failure to achieve the worldwide target limiting greenhouse gas emissions by 2030 to a level that will hold global temperature increase to no more than 2 degrees Celsius from the pre-Industrial Revolution level.

Time has come for people and businesses in Japan to stop thinking that they can emit carbon dioxide without paying for by a strong increase of pollution. The government and business circles must start discussions on the introduction of the cap-and-trade system which will impose limits on the maximum of gas emissions which every individual company can emit.
    Now Japanese know that they can't stop their gas emissions unless they fully invest in the new energy for a better future.

Alexandre

 Les problèmes écologiques du Japon avant la COP21



     Le Japon a dû faire face aux pires catastrophes naturelles ou industrielles : séismes, raz-de-marée ou explosion nucléaire.
Les Japonais doivent changer d’avis sur l'énergie nucléaire et passer aux nouvelles énergies qui pourraient réduire l'émission de gaz à effet de serre.

     Pour la COP21, une conférence internationale sur le climat s'est tenue à Bonn le mois dernier. Les pays en voie de développement ont exprimé des critiques sur un projet de résolution soumis par les dirigeants. Ils disent que les économies les plus avancées doivent s’acquitter d’une large part du coût nécessaire à lutter contre le réchauffement climatique car les pays développés en sont responsables en raison de leur activité industrielle.
Ils appellent non seulement à la création d’une taxe spéciale et de technologies pouvant aider les pays en développement dans leur transition vers les énergies à basse consommation de carbone, mais aussi à l’aide internationale pour se protéger de l’élévation du niveau de la mer et d'autres anomalies naturelles. Malheureusement, à cause des trop nombreuses divergences d'opinions, la conférence a pris fin le 23 octobre et s'est soldée par un échec dans la création du projet de texte qui aurait pu servir de fondation à une entente lors de la COP21.

      Contrairement au protocole de Kyoto qui consistait à lier les nations entre elles pour parvenir à réduire les émissions de gaz à effet de serre, la COP21 va aborder la discussion d'un plan « INDC » (Intended Nationally Determined Contributions) soit le plan d’engagement individuel des pays selon lequel chaque pays planifiera ses actions dans le cadre de la réduction des gaz à effet de serre.
L’objectif de cette approche et d'encourager le plus de pays possible à prendre part à l'effort global contre le réchauffement climatique.
Néanmoins, il n'y a aucune garantie que chaque pays accomplisse ses engagements et il est possible qu'on échoue à limiter, avant 2030 les émissions de gaz à effet de serre à l'échelle mondiale à un niveau permettant d’empêcher la température mondiale d'augmenter de plus de 2 degrés Celsius par rapport au niveau de l'époque pré-industrielle.

     Le temps est venu pour la population et les industriels japonais d'arrêter de penser qu'ils peuvent émettre des gaz carboniques sans le payer par une forte augmentation de la pollution. Le gouvernement et les cercles industriels doivent introduire un système de plafonnement et d'échange avec lequel ils imposeront des limites sur le maximum d'émissions que chaque compagnie pourra individuellement produire.

     Maintenant les Japonais savent qu'ils n'arrêteront pas de polluer à moins de s’investir pleinement dans les nouvelles énergies pour un avenir meilleur.

Alexandre

Sources :

The news words that I learned :
greenhouse = serre
cap-and-trade system ~ système de plafonnement et d'échange
funds = financement

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