mercredi 27 janvier 2016



Japanese scientists have grown an ear on a rat. A technique that will be used on humans in five years

This is a big discovery for science, more for plastic surgery: Japanese scientists have grown up an ear on the back of a rat, a two-month work. Plus the Tokyo and the Kyoto University said we could use them, in five years, on humans born with facial abnormalities, or youngsters bitten by a dog. But it could help also adults who have suffered accidents, including soldiers injured in battle. This is how the scientists did their experience: from stem cells at the base of all the others, they have recreated cartilage cells, the raw material of the ear. Nowadays, replacement ears are sculpted from cartilage taken from the patient’s ribs and the removal of the cartilage is painful and chest never fully heals. But in contrast, the new technique would require just a small sample of cells as starting material. Plus, the finished ear would be a living thing and so should grow with the child.

Des scientifiques japonais ont fait pousser une oreille sur un rat. Une technique qui pourrait être utilisée sur les humains dans cinq ans

C’est une grande découverte pour la science, mais plus encore pour la chirurgie plastique : des scientifiques japonais ont fait pousser une oreille sur le dos d’un rat, une expérience qui a duré deux mois. De plus, les universités de Tokyo et de Kyoto ont expliqué que l’on pourrait les utiliser dans cinq ans, sur des humains avec des anomalies faciales, ou des jeunes qui se sont fait défigurer par un chien. Mais cela pourrait aussi servir aux adultes accidentés, ainsi qu’aux soldats blessés au combat. Voici comment les scientifiques ont réalisé l’expérience : avec des cellules souches à la base de toutes les autres cellules, ils ont recréés des cellules de cartilage humain, la matière première de l’oreille. De nos jours, les oreilles remplacées sont sculptées dans le cartilage des côtes des patients, le retrait du cartilage est douloureux et la poitrine ne guérit pas totalement. Mais à contrario, la nouvelle technique nécessite seulement un petit échantillon de cellules comme matière de départ. De plus, l’oreille achevée serait une chose vivante et accompagnerait la croissance de l’enfant.

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