France and Japan: A Honeymoon
Security and economy. These were the two big subjects that the Japanese Prime minister Shinzo Abe had in mind while starting his European tour last week. His two-day stop in Paris was marked by a joint statement on these two topics with François Hollande at the Elysée Monday morning.
The two men, who have multiplied the signs of mutual agreement, seized the opportunity to hail the creation of a “unique partnership” between the two countries a year after the visit of the President of the French Republic in Tokyo,”. This rapprochement occurred whereas the exchanges between the two countries reached €15 billion in 2013.
Japan is now the first Asian investor in France. It is a major partner in nuclear energy and Japan has a keen interest in French skills regarding nuclear production and nuclear safety and especially the decommissioning of nuclear power stations and reprocessing of contaminated water. This was recently highlighted by the recent creation of the joint-venture ANADEC between AREVA and ATOX, for the decommissioning of the nuclear power station of Fukushima DaÏ-ichi.
Shinzo Abe hopes to gradually restart part of the reactors, which are crucial for Japan’s economic health but not without guaranteeing maximum security of the installations.
Other agreements were signed by the two leaders, like the one about the development of Astrid (Advanced Sodium Technological Reactor for Industrial Demonstration), a fourth generation nuclear reactor developed by Commissariat à l’Energie Atomique (CEA). This French project of quick nuclear reactors cooled by sodium is located in Marcoule, Gardin Southern France.
Opinion:
I think that it’s good that France has commercial projects and gets on well with Japan which is a rich and populated country because it means money and jobs for France and shows that France is recognized for its expertise regarding nuclear power. It may prompt the signature of new contracts with other countries in the future. And even if nuclear power is contested, it’s still one of the most widely used sources of energy in developed countries.
France et Japon, les dessous d’une lune de miel
La sécurité et l'économie. Ce sont les deux grands sujets que le Premier ministre japonais Shinzo Abe avait en tête en démarrant sa tournée européenne la semaine dernière. Son étape à Paris pour deux jours, marquée par une déclaration commune avec François Hollande à l'Élysée lundi en fin de matinée, aura été l'occasion d'insister sur ces deux sujets.
Les deux hommes, qui ont multiplié les signes de très bonne entente, ont profité de cette rencontre, un an après la visite du président de la République à Tokyo, pour saluer la mise en place entre les deux pays d'un "partenariat d'exception". Ce rapprochement a lieu alors que les échanges entre les deux pays ont atteint les 15 milliards d'euros en 2013 et que le Japon est le premier investisseur asiatique en France.
Enfin, toujours sur le plan économique, s'il y a bien un sujet sur lequel la France intéresse le Japon, c'est en matièrede production et de sûreté nucléaires. Tokyo s'intéresse notamment aux technologies françaises pour le démantèlement des centrales nucléaires et pour le retraitement des eaux contaminées, comme en atteste la création récente de la joint-venture ANADEC entre AREVA et ATOX, pour le démantèlement des centrales de Fukushima Daï-ichi.
Shinzo Abe compte par ailleurs relancer peu à peu une partie de ses réacteurs, cruciaux pour sa bonne santé économique. Mais pas sans garantir la sécurité maximale des installations. Et de ce point de vue encore, la coopération entre le Japon et la France sera accrue.
D'autres accords ont été signés par les deux dirigeants, comme celui sur le développement du réacteur nucléaire de quatrième génération Astrid (Advanced Sodium Technological Reactor for Industrial Demonstration). Porté par le Commissariat à l'énergie atomique et des énergies alternatives (CEA), ce projet français de réacteur nucléaire rapide refroidi au sodium est développé sur le site de Marcoule, dans le Gard.
Opinion :
La France a des projets commerciaux et s’entend bien avec le Japon, un pays riche et peuplé. Cela va rapporter de l’argent et créer des emplois et cela montre que la France est reconnue pour son expertise en matière du nucléaire.Cela lui facilitera l’obtention de contrats avec d’autres pays par la suite. Et même si le pouvoir nucléaire est très contesté, c’est toujours la source d’énergie la plus utilisée dans les pays développés.
Sources :
Tiré du journal la Tribune du 5 mai 2014 article «France, Japon, les dessous d’une lune de miel»
Maylis
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