samedi 9 novembre 2019

Delusion kills thirty-six

The suspect of a deadly attack in July 18 on a Kyoto Animation Co studio was interrogated by the police. He was interviewed for the first time on November 9 because he had just woken up after recovering from many burns.

The suspect acknowledged the facts. He voluntary caused a fire that killed thirty-six people and injured thirty-three others. The suspect, Aoba, aged forty-one said he thought the studio had stolen items from one of his novels.

Aoba sent two novels to Kyoto Animation. Novels that had not passed the preliminary selection because they were in the wrong format. The studio stated that there was no similarity between the material of his novels and its own works.

The police are waiting for Aoba to recover before
arresting him. He told the hospital staff that he expected to receive the death sentence.

Kyoto Animation is known for artworks such as K-on! and The melancholy of Haruhi Suzumiya which illustrates the daily life of high school students.


36 VIES POUR UN FANTASME

Le suspect de l'attentat meurtrier qui a eu lieu le 18 juillet dans un studio de Kyoto Animation Co a été entendu par la police. Il a été interrogé pour la première fois après s’être remis de multiples brûlures.

Le suspecta reconnu avoir volontairement provoqué un incendie qui a causé la mort de trente-six personnes et blessé trente-trois autres.

Aoba, quarante et un ans, a déclaré avoir mis le feu car il pensait que le studio lui avait volé des éléments d’un de ses romans.
Aoba avait envoyé deux romans à Kyoto Animation. Romans qui n’avaient pas passé le test de sélection car ils étaient arrivés dans le mauvais format.
Le studio a déclaré qu’il n’y avait pas de similitude entre le contenu de ses romans et leurs propres œuvres.

La police attend qu’Aoba se rétablisse pour l’arrêter. Ce dernier a déclaré au personnel hospitalier qu’il s’attendait à être condamné à la peine de mort.

Kyoto Animation est connu pour des œuvres telles que K-on! et “La mélancolie de Haruhi Suzumiya” qui dépeint la vie quotidienne des lycéennes.

LEA.

lundi 7 octobre 2019

Poacher's sinking feeling



On Monday 7 October, 2019 dozens of Korean fishermen were found off the coast of Japan after their boat had collided with a Japanese Navy patrol boat.
Authorities claimed to have saved many people. They are checking to see if nobody has disappeared.
The boat that was fishing illegally sank in the Yamatotai area, a fertile land for squid fishing. The shock occurred when the patrol boat approached to order the Koreans to leave the area.
Japan has increased patrols in the region in the last two years. While the poaching of squid has increased.
Coast guard vessels have been patrolling the area since May.
Patrols boats have filed nearly five hundred poaching expulsions between May and August.
Experts say, the rising in poaching is caused by the country’s move to grow fish catches.
In June, the Japanese coast guard repelled three hundred boats from Yamatotai waters.
The local authorities also said that a fishing boat threatened the patrol boats with a gun last August.



Braconniers à la mer

Le lundi 7 octobre 2019, une vingtaine de pêcheurs coréens ont été repêchés au large des côtes du Japon après la collision de leur bateau avec une vedette de la marine japonaise.
Les autorités ont affirmé avoir secouru les naufragés et continuent de vérifier que personne n’a disparu.
Le bateau a coulé dans la zone du Yamatotai, réputée pour la pêche au calmar. Le bateau pêchait illégalement et le choc a eu lieu lorsque le patrouilleur s’est approché pour ordonner aux Coréens de quitter les lieux.
Le Japon a augmenté ses patrouilles dans la région ces deux dernières années, tandis que le braconnage de calamars a augmenté. Des garde-côtes patrouillent depuis mai dans la région.
Les patrouilleurs ont procédé à près de cinq cents expulsions de braconniers entre mai et août.
Les experts estiment que l’augmentation du braconnage est due à la politique coréenne d’intensification de la pêche.
En juin, les garde-côtes japonais ont écarté trois cents bateaux des eaux de Yamatotai. 
Les autorités ont également déclaré que l’équipage d’un bateau de pêche avait menacé les patrouilles avec une arme à feu en août.

lundi 20 mai 2019


A woman kills her husband with a hammer

This Sunday, the Tokyo metropolitan police arrested a 55-year-old woman. She would have assaulted a man to death, it would be her husband. The attack took place at their residence in the town of Mitaka in the Shinkawa region.
This Sunday, around noon, a woman called the emergency services to tell them: “My husband will not get up”. According to the police, arriving at the residence, the emergency staff found a man, about 60 years old, lying on the ground. He was injured in the head and his body was partly burned. Later, the man was confirmed as dead at the hospital.
The police arrested Asako Akiyama, the woman of the dead man, she was suspected of murder. She immediately confessed her actions. According to the police, she hit her husband with a hammer (found at the crime scene) and sprinkled him with boiling water while he was sleeping on the floor.
She admits: “He was sleeping on the floor, I got angry after telling him to sleep on the bed and he didn’t move” We are waiting, for the judgement of Asako Akiyama.
New words: sprinkled, boiling

Une femme tue son marie à coups de marteau

Dimanche, la police métropolitaine de Tokyo a arrêté une femme âgée de 55 ans. Elle aurait agressé à mort un homme, il s’agirait de son mari. L’agression a eu lieu dans leur résidence située dans la ville de Mitaka située dans la région de Shinkawa.
Ce dimanche, vers midi, une femme a téléphoné aux services d’urgences pour leurs dire : « Mon mari ne se lèvera pas ».  Selon la police, arrivés dans la résidence, le personnel des urgences a trouvé un homme, âgé d’approximativement 60 ans, allongé sur le sol. Il était blessé à la tête et brûlé au corps. Plus tard, l’homme a été confirmé comme étant mort, à l’hôpital.
La police a ensuite arrêté Asako Akiyama, la femme de l’homme mort, soupçonnée de meurtre. Elle a tout de suite avoué ses actes. Selon la police, elle a frappé son mari avec un marteau (retrouvé sur les lieux du crime) et l’a aspergé d’eau bouillante pendant qu’il dormait par terre.
Elle admet : « Il dormait par terre, je me suis fâchée après luui avoir dit de dormir sur le lit et il n’a pas bougé »
On attend, pour l’instant le jugement de Asako Akiyama. 


Water discovered on an asteroid
Last year, Japan sent an unmanned space probe (Hayabusa 2) to research and analyze an asteroid named Ryugu.
After arriving in June, Hayabusa 2 studied 69,000 different locations using an infrared spectrometer capable of detecting hydrated minerals, 90% of Ryugu's surface has been studied.
In August, the research team declared, after analyzing the results, that there were no data that indicated the presence of water on Ryugu.
This year, the team redid an analysis of these results after adjusting the measurement errors. This new analysis showed that hydrated minerals on the surface of this asteroid represented a rate of less than or equal to 1%.
Ryugu is about 300 million kilometers away from Earth and is estimated to be 1.1 billion years old. It's a piece of a larger asteroid that would be 4.6 billion years old that was broken apart, so that comes from the beginning of the universe. According to the researchers, this asteroid could be composed of much more water than Ryugu.
These results can provide a clue to researchers to find the origin of the presence of water on Earth. Indeed, many scientists say that some of the water on Earth might come from asteroids and comets.
Ryugu is now classified as a Type C asteroid (containing water and organic compounds)
All research for this mission has been published in the American journal Science News.



De l’eau découverte sur un astéroïde
L’année dernière, le Japon a envoyé une sonde spatiale sans pilote (Hayabusa 2) faire des recherches et analyser un l’astéroïde Ryugu.  
Après son arrivée en Juin, Hayabusa 2 a étudié 69 000 emplacements différents en utilisant un spectromètre infrarouge capable de détecter des minéraux hydratés, ainsi, 90% de la surface de Ryugu a été étudiée.
En Août, l’équipe de recherche a déclaré, après analyse des résultats, qu’il n’y avait aucune donnée qui indiquait la présence d’eau sur Ryugu.
Cette année, l’équipe a refait une analyse des résultats en ajustant les erreurs de mesure de la dernière analyse. Cette nouvelle analyse a montré que les minéraux hydratés à la surface de cet astéroïde représentaient un taux inférieur ou égal à 1%.
Ryugu se trouve à environ 300 millions de kilomètres de la Terre et on estime qu’il a 1 100 000 000 d’années. Il est une partie qui s’est détachée d’un astéroïde plus gros qui lui serait âgée de 4,6 milliards d’années, donc qui viens du tout début de l’univers. Selon les chercheurs, cet astéroïde serait composé de beaucoup plus d’eau que Ryugu.
Les résultats peuvent donner un indice aux chercheurs pour trouver l’origine de la présence d’eau sur Terre. Effectivement, beaucoup de scientifiques disent qu’une partie de l’eau présente sur Terre proviendrait d’astéroïdes et de comètes.
Ryugu est maintenant classé comme un astéroïde de type C (contenant de l’eau et des composés organiques)
Toutes les recherches de cette mission ont été publiées dans le journal Américain Science News.

vendredi 8 février 2019


Controversial demolition of memorial building

In Otsuchi, Iwate Prefecture, the demolition of a city hall where dozens of people died in the wake of a tsunami in 2011 has begun. This decision is very controversial for the inhabitants. Some want to preserve this building as a tribute to the victims. Others support the destruction because this building reminds them of the tsunami and the dead.

During this tsunami on March 11, 2011, the mayor of the city and 27 officials died in the building.

The demolition of this city hall began after the rejection of the request to stop work by the Moriaka District Court last Thursday. The demolition will be completed by the end of February.

However, the city government plans to keep some of the objects left inside, including a wall clock and a ladder used by the rescue to evacuate the occupants.

Sources : https://japantoday.com/category/national/tsunami-hit-town-demolishes-old-office-despite-preservation-calls

http://www.newsonjapan.com/html/newsdesk/article/124318.php



Démolition controversée d’un lieu de mémoire

A Otsuchi, dans la préfecture d’Iwate, la démolition d’un hôtel de ville où des dizaines de personnes sont mortes à la suite du tsunami de 2011 a commencé. Cette décision est très controversée par les habitants. Certains veulent préserver ce bâtiment en hommage aux victimes. D’autres souhaitent sa destruction car il leur rappelle le tsunami et les victimes.

Lors de ce tsunami, le maire de la ville et 27 responsables sont morts dans l’immeuble le 11 mars 2011.

La démolition de cet hôtel de ville a commencé après le rejet du recours déposé pour arrêter les travaux par le tribunal du district de Moriaka jeudi dernier. Le bâtiment sera totalement démoli d’ici fin février.

Cependant, la ville envisage de conserver certains des objets laissés à l’intérieur du bâtiment, notamment une horloge murale et une échelle utilisée par les secours pour évacuer les personnes bloquées à l’intérieur.

National tribute a word



A man displays a plastic folder inscribed with the word “Heisei” while standing behind a mock TV set at the Tsukuba Annex of the National Archives of Japan in Tsukuba, Ibaraki Prefecture, on Monday.

The archives introduced the prop to allow visitors to relive the moment in 1989 when then Chief Cabinet Secretary Keizo Obuchi announced “Heisei” as the name of the new Imperial era.

The archives possess the “Heisei no Sho” (Heisei calligraphy) that Obuchi presented during the announcement and that was shown in the background.

The main archives and annex began selling plastic folders printed with the inscription last spring. Only visitors who buy the folder can take their photo through the frame. As of Monday, the annex’s stock of 260 folders had sold out, though it expects to receive more from the main archives in late February.



Le mot souvenir national

Lundi dernier, à l'annexe des Archives nationales du Japon à Tsukuba, dans la préfecture d'Ibaraki, un présentateur, debout derrière une fausse télévision, exhibait un dossier un dossier plastifié portant le mot Heisei.

C’était la façon qu’avaient choisie les Archives nationales pour présenter au public le support qui allait permettre aux visiteurs de revivre le moment historique où, en 1989, le Secrétaire général du Cabinet, Keizo Obuchi, dans un geste identique qu’on pouvait voir en arrière-plan, avait annoncé que « Heise» serait le nom de la nouvelle ère impériale.

Les archives possèdent le «Heisei no Sho» (calligraphie de Heisei) qu'Obuchi avait présenté lors de l'annonce publique.

Les archives principales et l'annexe ont commencé à vendre ces dossiers portant la fameuse inscription au printemps dernier. Seuls les visiteurs qui achètent le dossier peuvent prendre leur photo du document original.

À la date de lundi, les 260 dossiers disponibles étaient épuisés, mais il est prévu un nouvel arrivage au site principal des Archives nationales à la fin du mois de février.

Dina

source: http://the-japan-news.com/news/article/005510145

lundi 14 janvier 2019

Restaurant explosion leaves 40 victims

In Sapporo City, at least 40 people were injured in an explosion that destroyed a restaurant and an estate office. The explosion took place in the Toyohira district. According to firefighters, 19 other buildings and 26 vehicles were damaged within 100 meters of the explosion.

The cause hasn’t been found, but apparently, it might be aerosols. An employee of the agency said that they used more than 100 aerosols to sterilize and deodorize the office. The blast happened after one of the agency workers turned on the water heater to wash his hands after using an aerosol.

When the explosion happened, 40 people were in the restaurant and two others were in the offices. The victims range from 1 to 60 years old. A 33-year old man from the office is struggling for life with facial burns.

The restaurant collapsed and was invaded by flames, the outside wall of the restaurant completely disappeared in the explosion. Twenty people were on the second floor, they all tried to reach the broken wall, but soon, the floor collapsed. The panic was so important, that people were trying to get out by any possible way. Mina Ward, 28, jumped from the second floor; he is entirely hurt on the right side of his body and has suffered cuts on his fingers.

The guests at the bottom of the restaurant were all rushing toward the exit, walking on each other. It was total Chaos. Chuo Ward said, “I thought I could not make it when I saw the fire.” “I was terrified”, said Minami. The firefighters finally extinguished the fire surrounded by rubbles, broken windows and ashes.

Dans la ville de Sapporo, au moins 40 personnes ont été blessées lors d’une explosion qui a détruit un restaurant et un immeuble de bureaux.

L’explosion a eu lieu dans le quartier de Toyohira. D’après les pompiers, 19 autres bâtiments et 26 véhicules ont été endommagés dans un rayon de 100 mètres autour de l’explosion.

La cause de l’explosion n’a pas encore été déterminée, mais elle aurait apparemment été provoquée par une bombe aérosol.  Un employé de l’agence immobilière a déclaré qu’ils utilisaient plus de 100 bombes aérosols pour stériliser et désodoriser les bureaux. L’explosion aurait eu lieu quand l’un des travailleurs a allumé le chauffe-eau pour se laver après avoir utilisé une bombe aérosol.

Lors de l’explosion, près de 40 personnes se trouvaient dans le restaurant et deux autres dans les bureaux. Les victimes ont de un à soixante ans. Un homme de 33 ans qui se trouvait dans les bureaux est dans un état grave avec des brûlures au visage.

Le restaurant s’est effondré et a été envahi par les flammes, le mur extérieur du restaurant a totalement disparu durant l’explosion.

Environ 20 personnes se trouvaient au deuxième étage, ils ont tous essayé de sortir par le mur effondré mais très vite, le sol a cédé. Durant l’explosion, la panique était tellement importante, que les gens cherchaient à sortir par tous les moyens possibles. Minami Ward, âgé de 28 ans, a sauté du deuxième étage. Il est blessé sur tout le côté droit de son corps et a subi des coupures aux doigts. Les clients qui étaient en bas du restaurant se sont entassés les uns sur les autres. C’était le chaos total : « Je pensais ne pas y arriver quand j’ai vu le feu » « J’étais terrifié » a déclaré Minami. Les pompiers ont finalement éteint le feu au milieu de décombres, de vitres de brisées et de cendres.

Sources :
http://www.asahi.com/ajw/articles/AJ201812170032.html
https://www.20minutes.fr/monde/2397267-20181217-video-japon-explosion-restaurant-fait-42-blesses-hokkaido
https://www3.nhk.or.jp/nhkworld/en/news/20181217_03/

Drunk pilot sentenced to 10 months in prison

Katsutoshi Jitsukawa, a 42-year-old Japanese, is an experienced airline co-pilot with an impressive number of flights since the beginning of his career.

He was arrested on October 30 at the airport after failing an alcohol breath test only 50 minutes before his Japan Airlines flight departure for Tokyo.

The test revealed that his body contained 189 mg of alcohol per 100 ml of blood - the legal limit being 20 mg. Judge Phillip Matthews described the co-pilot as "significantly drunk" with “catastrophic consequences".

In court, the judge explained to the co-pilot "You are an experienced pilot, but you obviously had been drinking shortly before you arrived on the plane. The most important thing is the safety of everyone on board this flight .... Their safety has been endangered because of your drunkenness. The potential consequences for the people on board were catastrophic. ".

The pilot said he experienced "abject dishonor and wished to apologize to the passengers, the company and his family for the shame he inflicted on them. ".

Since August 2017, there have been 19 cases involving Japan Airlines pilots failing the company's alcohol tests, the company confirmed. Earlier this month, Japan Airlines announced the introduction of a new breathalyzer system at foreign airports. Yasuhiro Kikuchi, vice president of Japan Airlines, apologized in court and said his colleagues did not seek to hide the actions of Jitsukawa.

Finally, Judge Phillip Matthews sentenced Katsutoshi Jitsukawa to 10 months in prison.

Katsutoshi Jitsukawa, Japonais, 42 ans est un copilote d’avion de ligne expérimenté ayant effectué de nombreux vols depuis le début de sa carrière. Arrêté le 30 octobre à l’aéroport après un alcootest positif seulement 50 minutes avant le départ de Japan Airlines à destination de Tokyo qu’il devait assurer. Le test avait révélé que son sang contenait 189 mg d’alcool par 100 ml de sang – la limite légale étant de 20 mg.

Le juge Phillip Matthews a décrit le copilote comme étant « en état d’ébriété avancé ».

Lors de l’audience, le juge s’est adressé au copilote « Vous êtes un pilote expérimenté, mais vous aviez manifestement bu peu de temps avant votre arrivée dans l’avion. »  « Le plus important est la sécurité de toutes les personnes à bord de ce vol…. Leur sécurité a été mise en danger par votre état d’ivresse. » « Les conséquences potentielles pour les personnes à bord auraient pu être catastrophiques. ».

Le pilote a dit éprouver un « déshonneur abject et souhaite présenter des excuses aux passagers, la compagnie et à sa famille » « pour la honte qu’il leur a infligée. ». Depuis aout 2017, il y a eu 19 cas où des pilotes de Japan Airlines ont échoué aux tests d’alcoolémie de la compagnie, a confirmé celle-ci.

Au début du mois, Japan Airlines avait annoncé l’introduction d’un nouveau système d’éthylotest dans les aéroports étrangers. Yasuhiro Kikuchi, vice-président de Japan Airlines, s’est excusé devant le tribunal et a déclaré que ses collègues n’avaient pas cherché à dissimuler les fautes de Jitsukawa. Finalement, le juge Phillip Matthews a condamné Katsutoshi Jitsukawa à 10 mois de prison.

Sources :
https://www.bbc.com/news/uk-46388829
https://www.ctvnews.ca/world/drunk-japan-airlines-pilot-sentenced-to-10-months-1.4197853

End of a nightmare for hostage journalist


Jumpei Yasuda is a Japanese journalist who was captured in June 2015 by ISIS in Syria.

Last August, he appeared for the first time in a video, in which he was threatened by armed and hooded men. He was finally liberated in October 2018. At first, he went to Turkey and finally to Japan where he reunited with his wife and family. He just talked a little to the journalists who was with him in the plane for Turkey. He explained his experience: "It was hell..., not only physically but mentally. Every day, he was thinking "today I will not be released" and step by step I was losing my mind." He also explained that he could not wash himself for 8 months and sometimes he had to stay hours without moving. He also didn't speak Japanese for 8 months. The first time he appeared in public, he looked relieved but tense: "I'm glad to come back to Japan but at the same time I have no idea of what's going to happen now and how I should behave".

Effectively, many ex-hostages looked shocked when they came back and people kept telling them it was their fault if they were captured because of their carelessness.

The Japanese government claimed that no ransom had been paid for his release. But the Syrian Observatory for Human Rights said that an agreement was reached between Turkey and Qatar and according to some sources a ransom was paid. He's now safe in Japan, he doesn't want to talk a lot to journalists, but he promised he will hold a press conference soon.


Le journaliste Jumpei Yasuda avait été capturé en juin 2015 par Daesh en Syrie. Il était apparu pour la première fois dans une vidéo, en août, où il était menacé par des hommes armés et cagoulés. Il a finalement été libéré en octobre 2018.

Il est d’abord arrivé en Turquie puis est finalement rentré au Japon où il a retrouvé sa femme et sa famille. Il n’a parlé que brièvement aux journalistes qui étaient avec lui dans l’avion pour la Turquie: « C’était l’enfer, … , pas seulement physiquement mais aussi mentalement. Tous les jours, je me disais « Ce n’est donc pas aujourd’hui que je vais être libéré ? » et petit à petit je perdais la tête ». Il explique aussi qu’il n’a pas pu se laver pendant 8 mois parfois, il devait ne pas bouger pendant plusieurs heures. Il n’a pas parler japonais pendant 8 mois. La première fois qu’il est apparu en public, il avait l’air soulagé et tendu à la fois. « Je suis ravi de revenir au Japon mais je n’ai aucune idée de la façon dont je vais me comporter. »  Effectivement, beaucoup d’ex-otages ont été pris à partie à leur retour, les gens disaient que c’était leur faute s’ils avaient été capturés, à cause de leur imprudence. Le gouvernement japonais a affirmé n’avoir payé aucune rançon pour sa libération. Mais l’Observatoire syrien pour les droits de l’homme dit qu’il y a eu un arrangement entre la Turquie et la Qatar. Selon certaines sources, une rançon a été payée. Il est maintenant en sécurité au Japon. Il ne veut pas parler aux journalistes, mais il a promis de bientôt tenir une conférence de presse Sources : 

Sources :

https://www.japantimes.co.jp/news/2018/10/25/national/japanese-journalist-junpei-yasuda-happy-headed-home-three-year-syria-hostage-ordeal/#.W-ckqpNKiUk

mercredi 9 janvier 2019

The Scandalous Chart




A Japanese men's magazine has had to issue an apology after publishing a list ranking universities on how easy it is to convince female students to have sex at drinking parties.

The list prompted outrage.

It went about the practice of drinking parties where men pay women to attend.

A woman launched a campaign calling for an apology and for the article to be removed.



On December 25, the article said the parties were popular among female college students and included an interview with the developer of an app intended to help men and women find potential attendees.



« We would like to apologize for using sensational language to appeal to readers about how they can become intimate with women and for creating a ranking... with real university names... that resulted in a feature that may have offended readers, » the magazine said in a statement.

« On issues that involve sex, we will do what we can as a magazine to listen to various opinions, » the statement added.



The article mentioned five colleges where students were "easily available" at drinking parties, and described how to "coax" women and judge whether a woman was sexually available based on her clothing and appearance, reports say.



The petition started by Kazuna Yamamoto on the website change.org had been supported by more than 33,000 people last Tuesday.



"Japan will be hosting the first G20 summit this year, 2019, and it is ridiculous for an article such as this to be published. It's not funny at all," she wrote on the petition page.



"I would like to fight so that, especially on public articles such as this one, sexualizing, objectifying and disrespecting women would stop. We demand Shuukan Spa take this article back and apologize, and promise to not use objectifying words to talk about women."



Dina





Un classement qui fait scandale



Un magazine masculin japonais a dû présenter des excuses après avoir publié une liste répertoriant les universités en fonction de la facilité avec laquelle on pouvait convaincre les étudiantes d’avoir des relations sexuelles lors de soirées bien arrosées.

La liste a suscité l'indignation.

L’article décrivait ces soirées particulières où les hommes payaient des invitées.

Une femme a lancé une campagne réclamant des excuses et la suppression de l'article.

Dans l'édition du 25 décembre, on racontait que les soirées étaient populaires parmi les étudiantes et comprenait une interview avec le développeur d'une application destinée à aider les hommes et les femmes à trouver des participants potentiels.

« Nous voudrions nous excuser pour avoir utilisé un langage inconvenant pour attirer les lecteurs sur la manière dont ils peuvent devenir intimes avec les femmes et pour ce classement ... avec de vrais noms d'université ... qui a pu offenser les lecteurs », a déclaré le magazine dans un communiqué.

« Sur les questions liées au sexe, nous ferons ce que nous pouvons en tant que magazine pour écouter différentes opinions », a ajouté le communiqué.

L'article mentionnait cinq universités où les étudiants étaient "facilement disponibles" lors de beuveries, et décrivait comment "convaincre" les femmes et juger si une femme était sexuellement disponible en se basant sur ses vêtements et son apparence.

La pétition lancée par Kazuna Yamamoto sur le site Web change.org avait été recueilli plus de 33.000 signatures mardi dernier.

"Le Japon organisera le premier sommet du G20 cette année, 2019, et il est honteux de publier un article comme celui-ci. Ce n'est pas drôle du tout", a-t-elle écrit sur la page de la pétition.

"Je voudrais me battre pour que cessent d’être publiés, en particulier dans la presse, des articles tels que celui-ci, qui sexualisent, réifient et humilient les femmes. Nous demandons à Shuukan Spa de retirer cet article, de s'excuser et de promettre de ne plus parler des femmes en ces termes. "

Dina

source: https://www.bbc.com/news/world-asia-46794476?intlink_from_url=https://www.bbc.com/news/topics/cjnwl8q4g7nt/japan&link_location=live-reporting-story